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Jim Grabb
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Jamie Morgan
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Jim Grabb
 
Jamie Morgan
60
Жас
52
193cm
Биіктік
185cm
82kg
Салмақ
80kg
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Ранг
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Past 6 months
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Басшысына басшысы
1
Барлық
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1
Қиын
0
46 64 76check
22 Шіл 1991
Latest results
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Herrera.L
64 36 63
Шіл 1991
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Baron.I
63 63
Шіл 1991
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Courier.J
64 76 26 46 63
Мау 1991
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Marques.N
75 67 64 61
Мау 1991
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Black.B
62 76
Мау 1991
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Benhabiles.T
46 46 64 62 63
Мам 1991
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Courier.J
67 62 63
Сәу 1991
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Tarango.J
46 63 76
Сәу 1991
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Wheaton.D
63 36 61
Нау 1991
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Davis.S
64 64
Нау 1991
Шіл 1991
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P.Lundgren
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Шіл 1991
16 76 76
G.Layendecker
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Мау 1991
61 62
W.Ferreira
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Қаң 1991
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M.Gustafsson
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Қаң 1990
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S.Davis
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Қаң 1989
62 36 61 64
J.Bates
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Alcaraz, heureux et impatient d’affronter Sinner : “C’est un des défis les plus difficiles à relever” Carlos Alcaraz réalise un tournoi de Roland-Garros très abouti. Gêné à l’avant-bras depuis le début de la saison sur terre battue, il est arrivé à Paris. Malgré des premières sorties moyennes, notamment au deuxième tour (victoire face à De Jong, 176e, 6-3, 6-4, 2-6, 6-2), il a rapidement retrouvé ses marques. Opposé à un excellent Tsitsipas en quarts de finale, il a réalisé son meilleur match du tournoi, ne laissant aucune chance à un Grec désabusé (6-3, 7-6, 6-4). Interrogé en conférence de presse, l’Espagnol est d’abord revenu sur sa qualification, source de satisfaction évidente : “Je suis heureux d’être à nouveau en demi-finale, ici à Roland-Garros. C'est toujours quelque chose de spécial de jouer une demi-finale de Grand Chelem.” Revenant sur son futur adversaire, à savoir l’homme à qui tout réussit cette année, un certain Jannik Sinner, le numéro 3 mondial s’est montré motivé, mais surtout très élogieux : “Jouer contre Jannik (Sinner), c'est un challenge très difficile, mais je suis prêt à le relever. En fait, face à lui, c'est comme si tu courais un marathon, d'un côté et de l'autre du terrain. Il ne fait aucun mauvais coup. Tout ce qu'il fait, il le fait parfaitement bien. Il a une qualité de frappe incroyable, il se déplace également extrêmement bien. Sur chaque balle, chaque point, il vous pousse dans vos retranchements.  C’est très difficile, mais en même temps, j’adore. J'adore ce type de match, ce type de challenge où l'on doit mener un combat sur chaque point. Les matchs que l'on a joués précédemment se sont déroulés ainsi et j'ai vraiment beaucoup aimé ça. J'aime avoir à trouver des solutions, trouver un moyen de le battre. Comme à Indian Wells, où j'avais perdu le premier set 6-1, avant de trouver le moyen de le mettre en difficulté (victoire d'Alcaraz en demi-finales du tournoi 1-6, 6-3, 6-2). C'est une situation géniale, en tennis, d'essayer de trouver la bonne solution.” Revenant sur ses ambitions, ‘Carlito’ n’a pas hésité à se placer dans le costume de l’outsider : “Il est probable que je serai un peu plus nerveux avant la rencontre. C'est un des défis les plus difficiles à relever aujourd'hui pour moi. C'est le meilleur joueur du monde, c'est même le n° 1 mondial maintenant, je ne peux pas être considéré comme le favori. Le seul moment où je l'ai vu mal dans ce tournoi, c'est le premier set contre Moutet. Après, il a été capable d'élever son niveau de jeu et de proposer un tennis incroyable. Cela va vraiment être un match intéressant. Dès le tirage au sort, je crois que tout le monde avait envie de voir ce match et moi, j'ai très envie de le jouer.”
Andreeva : "Jai joué Paolini à Madrid et c'était difficile" Mirra Andreeva dispute, ce jeudi à Roland-Garros, ses premières demi-finales en Grand Chelem, à seulement 17 ans. Elle sera opposée à une autre joueuse qui fait ses premiers pas à ce stade de la compétition, l'Italienne Jasmine Paolini, 28 ans. Une adversaire que la jeune Russe a affrontée et battue il y a un mois à Madrid. Bien que victorieuse, elle a avant tout retenu la qualité du tennis de son adversaire du jour ainsi que l'intensité du combat qu'elle lui avait proposé sur la terre battue espagnole. Mirra Andreeva : "J'ai joué contre elle (Paolini) à Madrid. Ça a été un match très difficile (victoire 7-6, 6-4). Autant sur le plan mental que sur le plan tennistique. Elle joue très vite et se déplace très rapidement. Elle va de l'avant, peu importe le score ou la situation. Je pense que ça sera un peu comme aujourd'hui (mercredi contre Aryna Sabalenka). Donc je vais essayer de jouer au même niveau et en gardant autant la tête froide, si je peux dire ça. Et on verra ce qui arrive."
Alcaraz et Sinner reviennent sur le forfait de Djokovic : une perte évidente pour le tournoi Novak Djokovic n’est plus un candidat au titre cette année à Roland-Garros. Touché au genou droit, il s’est retiré du tournoi et s’est même fait opérer ce mercredi. Si cette annonce ouvre grandement les perspectives de certains joueurs, à commencer par Casper Ruud, propulsé en demi-finales sans avoir eu à jouer les quarts, elle n’en reste pas moins une perte pour le tournoi.  À ce sujet, les prises de parole de Carlos Alcaraz et Jannik Sinner forcent le respect. Bien que débarrassés de l’un de leurs plus dangereux rivaux, l’un comme l’autre ont insisté sur l’aspect négatif de cette annonce. Sans se concerter, les deux jeunes loups semblent être tombés d’accord : le forfait de Djokovic est une triste nouvelle. Sans trop rentrer dans le détail, Sinner a expliqué que le retrait du Serbe était forcément négatif pour le tournoi, mais aussi pour le tennis : “Vous savez, c'est difficile aussi pour le tournoi. Le forfait de Novak, c'est toujours difficile.”. De son côté, Alcaraz ne doute pas vraiment de la capacité du ‘Djoker' à vite revenir : “Il a parlé avec son équipe, les médecins, et si la blessure est sérieuse, on est parfois obligé de prendre ce genre de décision. J'espère qu'il va vite se rétablir. Il a montré par le passé qu'il était capable de revenir vite et fort d'une blessure.”.
Bluffée, Vondrousova encense Swiatek : “Elle est juste trop forte” Marketa Vondrousova n’est pas n’importe quelle joueuse. 6e mondiale cette semaine, elle a déjà obtenu plusieurs résultats références tels qu’un sacre en Grand Chelem à Wimbledon (2023), une finale à Roland-Garros (2019) et une médaille d’argent aux Jeux Olympiques de Tokyo (2021). Pourtant, opposée à Iga Swiatek en quarts de finale, elle n’a absolument rien pu faire, battue en simplement 1h02 (6-0, 6-2).  Balayée par la reine incontestée du circuit, la Tchèque, impuissante, s’est contentée de déclarer : “ Je ne sais pas quoi dire. Elle est bien meilleure que n’importe qui sur terre battue, et en particulier ici. C’est très difficile.  J’ai l’impression que sur le terrain, il n’y a rien à faire ou à offrir. Elle est juste trop forte ! Je ne me suis pas sentie mauvaise. Mais dans les échanges, j’ai eu l’impression qu’elle était juste meilleure. » De la part de la 6e joueuse mondiale, un tel constat d’impuissance fait presque peur. En demi-finales, l’intraitable 1ère joueuse mondiale défiera Coco Gauff, 3e mondiale et tenante du titre à l’US Open. 
Zverev et ses secrets de récupération : "Le tennis devient facile" Après deux gros combats en 5 sets au 3e tour et en huitièmes de finale, Alexander Zverev s'est davantage économisé en quarts de finale de Roland-Garros. Il n'a eu besoin que de 3 sets (et tout de même 3 heures de jeu) pour remporter son quart de finale face à Alex De Minaur (6-4, 7-6, 6-4). Avant sa demi-finale face de vendredi face à Casper Ruud qui aura eu 4 jours de repos (suite au forfait de Novak Djokovic), une bonne récupération sera primordiale. Mais l'Allemand ne se fait pas de souci à ce niveau-là, il sait comment bien gérer cet aspect du tennis. Et à l'écouter ça n'a rien de compliqué. Le n°4 mondial a également expliqué qu'après des années de travail, il a désormais un physique adapté aux tournois du Grand Chelem. Alexander Zverev : "Tout le monde en conférence de presse et ailleurs me demande ce que je fais pour récupérer. Et ma réponse est toujours très simple. On ne s'occupe pas de la récupération entre les matchs, on s'occupe de la récupération pendant l'intersaison (en décembre). Si vous faites bien le boulot pendant l'intersaison, alors le tennis devient facile. Et j'ai un état d'esprit qui est que vous devez travailler plus dur que n'importe qui d'autre pour être le meilleur joueur. Et je pense que les meilleurs joueurs font tous ça. J'aime travailler jusqu'à ma limite absolue. Et si je fais ça, alors jouer 5 sets, soudainement, ça n'est pas si difficile. Je fais ça depuis de nombreuses années maintenant et je suis content que ça paye, que ça continue de payer. Et je suis content d'être à nouveau en demi-finales (sa 4e consécutive à Roland-Garros). J'espère que je vais enfin en gagner une (rires)."
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