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Scham/Schem/Shoum, Reine de Saba (et accessoirement de la Paëlla) a viré très à droite et se prend dorénavant pour une critique ciné. Elle a bien grandi, j'en suis fort fière.

Talian, toujours en première partie d'Anne Roumanoff ?
Raphael1818, toujours écrivain ?
whsw, toujours aussi agréable ?
Jennifer, toujours à la rédaction du journal de Bar-le-Duc ?
Louis, toujours aussi breton et un tout petit peu con ?
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more_vert
Ce film était tout bonnement génial, je me permets de le conseiller à ceux qui ne l'auraient pas encore vu et j'adore cette scène particulièrement *_*

"On ne peut pas diviser les choses en deux catégories, tout n'est pas aussi simple"
ChaBianca
Pour le coup c'est pas faux xD
Vaillant26
Vu son âge , j'espère qu'elle a un gros anu*
more_vert
141 jours

3384 heures

203040 minutes

12182400 secondes



.. se sont écoulées depuis la dernière fois que Bianca a joué un match.



L'absence n'est que l'enveloppe du crève-coeur, le manque est un martyre torturant tes passions dépendantes de tes attachements.

Amen.

[video][/video]
Kolibri
Elle est revenue.
ChaBianca
Film culte si l'en est accompagné d'un musique qui l'est tout autant ^^
L'ambiance est démente, tellement sombre et tragique, c'est un allé sans retour et pour moi le meilleur rôle de Jared Leto, je l'avais adoré dans ce rôle alors que de base il ne fait pas du tout parti de mes acteurs fétiches.
Oui Legend j'y ai forcément pensé en postant ce message, mais de la patiente on ne peut pas dire que l'on en manque en tant que fans d'Andreescu, c'est très pesant le manque.. :(
more_vert
Après ces quelques jours de Non-confinement.

Mon premier Bilan (constat personnel)



Ambiance de travail qui se détériore au fur et à mesure que les jours avancent, non pas tant venant de la part des clients, mais globalement je veux dire.

Evidemment il y'a de tout, il y'a des gens plus compréhensifs, réfléchis et solidaires que d'autres, mais cette règle naturelle était bien présente avant l'état général dû au Coronavirus, logiquement il y'a plus d'euphorie et les gens sont plus susceptibles d’êtres à crans et c'est tout à fait logique.



Moi-même je suis assez fatiguée, plus moralement que physiquement car je ne fait pas un métiers physique, néanmoins ce qui m'intéresse actuellement, c'est de parler des mesures restrictives par rapport à la contamination.



Il y'a beaucoup de gens qui continuent à travailler, ce qui est logique, tout ne peut pas fermer, tout le monde ne peut êtres cloisonnés dans un bunker non plus, les produits de premières nécessités ne se rangent pas tout seul dans les rayons, tout le personnel médical, et sans parler des mécaniciens, pharmacies, pompiers, police, bref tous les corps de métiers qui ne peuvent se permettre de stopper l'activité.



Et il est clair que le personnel médical a évidemment tout mon soutien, je ne connais personnellement personne dans mon entourage travaillant dans ce milieu, mais ça n’empêche pas que je n'imagine pas à quel point ça doit être un enfer pour eux.

Mais il y'a aussi des tas d'autres travailleurs/travailleuses dont j'ai l’impression qu'on n'en parle pas tant, et qui pourtant, sont juste hyper exposés à la contamination.



J'imagine que dans le corps médicale, ils le sont évidemment plus, mais les mesures pour prévenir l'infection, la contamination, doivent être très respectées, à la lettre, c'est d’ailleurs bien pour ça aussi, que ça doit être très épuisants pour eux à gérer.



Mais moi, ce qui me tanne, c'est de constater et je parle en mon cas mais aussi vis à vis de connaissances qui tirent le même constat, à savoir que les règles de préventions au travail, ne sont pas toujours volontairement respectées. Mais surtout, que malgré la bonne volonté de se protéger et de faire tout son possible, le risque reste toujours là, et des tas de facteurs font que, également, il est très compliqué de pouvoir TOUJOURS être prudents.



Alors que normalement, et malgré ce que l'on a pu entendre sur l’efficacité des masques et même des gants, pour mon cas personnel, aucuns masques ont été fournis et les gants pareil, j'ai du moi-même en récupéré de chez moi pour les amener à ma job.



Ici, beaucoup de restaurants sont toujours ouverts, à la différence avec la France d'après ce que j'ai pu voir, je comprends justement la décision qui serait de fermer les restaurants, c'est pas du tout évident pour tous les petits restaurateurs qui sont contraints à perdre très gros, voir fermer boutique. c'est même malheureux, mais je comprends bien la nécessité et la décision.



Ici donc, beaucoup de restaurants sont encore ouverts (entre autre) ils subissent cependant beaucoup de restrictions et de changements par rapport à leur activité annuelle, en temps normal.



Il y'a également toujours et encore beaucoup de personnes qui continuent à vivre comme si le Coronavirus était un simple rhume, sans prendre en compte le fait que, malgré que ça ne soit pas forcément plus mortel qu'une grippe, suivant les cas qui diffèrent évidemment. Mais ça se repend bien plus rapidement et c'est bien plus contagieux, donc au final, oui, de ce point de vu pour moi ça reste plus dangereux que bien des maladies ou virus qui présentent les mêmes risques, de part sa contagion plus accrue.



Mais ce qui me tanne franchement, je le vois là ou je bosse et meme en général, c'est qu'on a beau tout faire pour se protéger, je me mets deux secondes à la place de ceux qui bossent dans les magasins et qui se font dépouiller, qui travailles à un rhytme inhumain.



Ils devraient donc, tout en continuant à travailler dans leurs conditions déjà difficiles en tant "normal", mais là c'est pire :



-Se nettoyer les mains après le moindre contact/objets de travail/poignées de portes/cartons toutes les 2 minutes, après et avant de faire chaque action à risque de contamination.

-Rester à plus d'un mètre des clients quand on leur demande un renseignement, tout le temps.

-Ne pas recevoir de renseignements sur les mesures de protections à mettre en oeuvre par certaines directions, qui pensent avant tout à la rentabilité, au chiffre. Et qui privilégient toujours l'aspect économique à l'humain, mais qui à cotés de ça, prient pour qu'un ou une seule de leurs employées ne chopperait pas le corona, sous peine de fermer.. Là évidemment, il y'a de l'humain.. :)

-Etre d'une extrème prudence, s'en tenir à toutes ces conditions de protection et garder une vigilance continue, quand on travail non-stop, pour les jobs harassants, qui demandent beaucoup de lucidité.



Déjà, en tant normal, il y'a beaucoup de boulots qui demandent forcément de la prudence pour ne pas se blesser, alors imaginez bien avec ce rajout de dose de prudence, éviter de se blesser, éviter la contamination, tout en continuant à subir une pression monstre ?

Et je ne vais pas évoqué toutes les autres raisons qui font que selon-moi, c'est tout bonnement impossible que le risque zéro d'attraper le coronavirus, quand on en activité, et ce malgré toute la plus grande prudence que l'on applique, tant il y'en a..



J'espère malgré tout qu'avec ce confinement sélectif, le pic de contamination puisse baisser, mais je doute fortement sur le fait que ça puisse être le cas rapidement, ni même sur un mois. Du moins si les mesures ne sont pas pleinement respectées, que ça soit d'un cotés ceux qui prennent ça à la légère, mais aussi la difficulté à être sur le qui-vive en toute instance pour les autres.
ChaBianca
Et puis déjà, si seulement il y'en avait une qui aime le tennis dans le lot, juste un peu quoi, je ne demande pas non plus de trouver une fane d'Andreescu.. xD
ChaBianca
serieux ta passion ? tu veux devenir hautesse de l'air ou pilote sur le long terme ?
Non pas spécialement, je plaisantais en réalité, toujours ma connerie habituelle et en toute circonstance :p
Je suis agente d’accueil, mais je n'ai absolument pas de connaissances plus pointus en aéronautique, ça n'est pas mon secteur même si ça m'intéresse quand même et que j'ai déjà eu l'occasion d'en parler avec des hôtesses ou même des techniciens aussi. Mais hôtesse de l'air je ne pourrais pas je pense, c'est un très beau métier et elles ont beaucoup de mérites, mais être toujours en déplacements sans cesses, j'aurai du mal..Pareil pour pilote au final, sauf que là c'est d'autant plus un soucis d'études et de capacité, mais ça doit être passionnant je ne dis pas ^^

Ah bien Rodow, c'est top que tu puisses poursuivre ton activité avec le télétravail, mais je veux bien te croire que ça doit être bien hard de garder la motivation depuis chez toi pour bosser..
Moi je sais que ça serait un enfer, mes respects et bon courage à toi, moi non plus je n'ai pas vraiment le moral ces temps-ci.. Mais moi c'est pas tant depuis l'épidémie, ça fait déjà un moment que j'ai du mal et que je sature un peu, il y'a beaucoup de tensions avec la direction par période et même entre collègues c'est pas le feu..
more_vert
Et soudainement, elle s’arrêta de courir, elle stoppa net sa course, ses pensées toujours présentes et incessantes ne cessaient de la tourmenter, souffle coupé, elle ne respire plus. Elle était joyeuse depuis toujours, depuis aussi loin qu'elle se souvienne, rassurée, apaisée, loin de toute nuisances, de toute pollutions énergétiques environnantes et assombrissantes, comme totalement libérée de son esprit jadis écorché.



Mais alors, que fuyait-elle avec tant de volontés, d'un indubitable déterminisme ?

Elle qui avait, selon les dires et les avis de ses proches et de toute personne l'ayant coutoyée de loin ou de près, à un moment donné de leurs vie, un charisme et une beauté qui seraient d'une évidence certaine, mais ne reflétant qu'une partie infinitésimale, pour ne pas dire imperceptible, d'une profondeur d’âme.

Lors de sa course effrénée, dont au fond, la cause originelle de celle-ci lui est devenue presque oubliée, au gré des tourmentes l'ayant gagnées depuis bien des saisons, et l'ayant inéluctablement rendue cible primaire de toutes sortes d'obstacle la menant indirectement à l'apoplexie.



Mais elle poursuivit perpétuellement sa course, malgré l'incapacité d'y percevoir et/ou d'y atteindre une destination finale, ensanglantée et luttant face à la névrose de plus en plus grandissante, l'envahissante, sans désemparer.

Malgré l'effort de cette lutte incessante, elle gardait dans un coin de sa mémoire défaillante, des stigmates défragmentés toujours profondément présents, de ses expériences sensorielles passées. Ces séquelles qui la torturent autant qu'ils la maintenaient encore debout, alimentant dans un mouvement mécanique quasi désespéré, ses muscles anémiés et boursouflés.



Autour d'elle, régnait une atmosphère dont les horizons environnants suintaient un entremêlement de sentiments de fraîcheur, de féerie ainsi que d'éclats de pureté, un paysage champêtre aussi beau et laissant bercer quiconque s'y aventurant, dans un berceau mystérieux, entrant en corrélation avec un certain goût prononcé d'une délivrance inexpliquée.



Toute cette ambiance s’interprétante sous formes de lueurs aussi abstraites, quasis obscures, tant elle paraîtrait étrangère de part tout ce flot de subtilités désarçonnant et impactant sur ses connaissances ainsi que ses convictions profondes.

Ses connaissances basées sur l'ordre du connu, la rendant prises au piège dans les méandres d'une vérité factuelle, préconçue, dont les racines sont potentiellement toutes aussi décousues et incertaines face à ce qui l'échappait.

Tout ce qui a été dit jusqu'à ce moment, c'est tout ce qu'elle fut été, tout ce qu'elle est et tout ce qu'elle sera lors de cet intense mais éphémère passage dans ce monde, ce qui la ramène inévitablement à l'une des biens nombreuses causes communes dictées par le droit naturel, mais dont elle ne voyait et théorisait cela aucunement en un quelconque fatalisme.



Prise au piège dans le tourbillon de ses propres convictions, elle s’efforçait malgré tout, avec passions et affirmations, d'en rejoindre la destination, celle menant à sa libération en faisant abstraction de celle qui la dirigeait vers son extinction



Elle savait éperdument, au fond d'elle, de sa chaire et de son âme, que les choses qui la rattachent et la maintiennent en vie, sont aussi celles qui la brûlent, qui la torturent tant elle en éprouve de l'amour, pourtant elle détestait ce sentiments propices aux passions dévorantes, elle n'aimait pas aimer car elle savait que ce voyage aurait de grandes chances, d’être un allé sans retours. Ce qui la terrorisait, elle qui pour se rassurer, aimer à croire en la théorie de l'éternel retour.



Ces choses qui nous dépassent et nous fascinent à la fois, elle, au delà des choses, ce qui la fascinait autrement plus intensivement, c'était cette frontière qui illusionnait ses appréciations faussement détachées vis à vis de ses connaissances pures.

Elle se perd, elle se tue, elle s'écorche, elle se meurt en l'autre, en sa quête embrumée de ce qu'elle pense être l’inaccessible.

Si bien que ses larmes qui jadis coulaient d'une abondance démesurée dues à son rapport à cette conséquente vulnérabilité, s'étaient évaporées, laissant place à un vide familiarisé.



Et cette voix sibylline, qui lui martelait l'esprit et que elle seule pensait être capable d'entendre, la voix du monde, cette voix qui était à la fois harmonieuse, d'une douceur ainsi que d'une suavité sans pareil. Cette voix qui était sa chapelle, qui la protégeait de ses propres croyances et de toute formes de conditionnement, de formatage.

Cette voix qui était toujours là, qui la confortait dans l'idée que la joie pouvait lui être éternelle et embrasera toujours cette peur qui la confine dans la tourmente, qui affaiblissait ses sens, qui déchirait son cœur d'une douleur térébrante.

Cette voix était en réalité son plus fidèle allié, et, paradoxalement, son pire cauchemar tant elle la rendait assujettie à ses obsessions les plus dévorantes.



Il fallait qu'elle perde tout pour se rendre compte à quel point elle avait tout gagné.

Il fallait qu'elle se détruise pour se rendre compte à quel point il est fondamental qu'elle commence à s'aimer.

Il fallait qu'elle rigole pour savoir ô combien elle ne pourrait se laisser consumer par la tristesse.

Il fallait qu'elle mente, aussi, pour découvrir que le mensonge ne provenait qu'en réalité, de l'intention de revêtir d'un voile opaque et aux contours muraillés, une vérité non-assumée.

Il fallait qu'elle se fasse agresser pour ne plus jamais se laisser faire et se battre.

Il fallait qu'elle côtoie le profond ennui pour parvenir à ne plus jamais être lasse de ce qu'elle considérait auparavant comme étant éreintant et qu'elle s'émerveille encore de ce lui réserve la vie.



Prisonnière d'un corps dont l'éveil des sens étant limité, obstrué, comme jalonné par des amas de ronces épineuses dont la nature n'est autre que son appréhension d'un monde qu'elle considérait comme infiniment beau, trop, peut être ?

Non, car rien ni personne de ce qu'elle considère et ressent comme lui étant profondément libérateur ici bas, ne sera jamais assez trop beau tant elle savait que cette source propice à son émerveillement était trop belle pour être réelle.



Elle décida donc de lever sa hache avec fureur, frénésie, comme habitée d'un vent d'une férocité toute aussi dangereuse pour elle que pour l'antagoniste, paradoxalement, dénuée de la moindre haine.

Elle décapita avec rage celui ou celle qui tentait de réduire son bonheur à une une fatalité et une vie spleenétique.



Et le monde pourrait bien cramer, et ce monde peut bien cramer, qu'importe, il était de toute façon bien trop beau pour qu'elle puisse en être capable d'en capter l'essence.

Toute la prestigieuse féerie qui en découle, qui en émane, la rendait bien trop étourdie pour continuer à s'y attacher, les abysses la guettaient et, de toute évidence, l'heure n'est plus à la repentance.



Elle ne savait pas vivre plus d'une minute sans être terrifiée par son immensité.

Elle n'était plus capable de s'évader face à une telle liberté.

Elle était l'arbre déraciné qui jalousait ce robuste Platane enclavé.



Partagée entre la fascination de l’insaisissable perfection et l'adoration de la raison, de là était née sa clémence envers l’authenticité qu'elle détestait adorer.

Et puis, il n'y aura pas foule encore, ce soir, il faudra se confronter au vide, il faudra affronter la fatalité qui fait que nous ne pouvons n'être plus aimée que par soi-même.



La solitude perfore une nouvelle fois ton cœur qui était déjà bien fragile, et tes larmes ont bien trop coulé à travers tout le fusain qui protégeait tes rêves de gamine, maintenant assombris et lointains..

Faut croire qu'autrefois, elle pouvait bien encore flâner en se passant d’être émerveillée, sans se soucier de succomber à ses pensées torturées.



Il fallait qu'elle aie peur pour être envahie d'un sentiment de quiétude.



Il fallait qu'elle doute pour comprendre.



Il fallait qu'elle déteste pour aimer.



Il fallait qu'elle soit blessée pour être forte.



Il fallait qu'elle parte, pour revenir..
Kolibri
Elle est partie. Reviendra-t-elle ?
more_vert
Bonjour/bonsoir à tous ceux et celles qui liront peut être ce post, je dois dire que cela fait un moment que je n'avais plus pensé à en refaire un. Et déjà bien avant ma trêve prolongée du site, j'étais bien moins inspirée et je n'avais plus vraiment la tete, ni le cœur, mais je me souviens d'une discussion que j'avais eu avec un certain Pigeon charmant, sur le fait de continuer à écrire pour entretenir l'exercice malgré le manque d'inspiration.



C'est alors que je suis ses conseils, mais pour une fois, je tenais à parler et revenir sur un sujet d'actualité, ce qui me fait également sortir de ma "zone de confort" sachant que de base, ça n'est pas vraiment ma tasse de thé. Je préfère toujours écrire des textes s’approchant de loin car manquant de qualités et de structure stylistiques à mes yeux, mais disons s'approchant d'un esprit plus proche de l'école de la poésie, pour laquelle j'ai toujours beaucoup éprouvé d’intérêts.



Alors j'en profite, à l'heure où le grand sujet d'actualité actuel porte sur le COVID-19 et évidemment l'impact que cela à sur le tennis, entre autres évidemment, mais comme nous sommes réunis avant tout pour cette passion commune.



Et bien non, je tenais à revenir sur l’événement qu'il y'avait eu à la cérémonie des Césars (Je précise, dont je n'ai pas regardé l'édition) sur le prix de récompense pour le film de Roman Polanski.

Bon il se trouve que beaucoup de choses ont été dites de part et d'autre depuis, de ce fait mon post n'a nulle autre prétention que celle de donner mon opinion qui reste évidemment personnelle. Ça me parait évidant néanmoins j'aime toujours à le rappeler.



À vrai dire, ça faisait un petit moment que je voulais en parler, et cette démarche est surtout intentionnelle du fait que je n'aime pas me garder de ce que j'ai à dire, c'est donc l'occasion. Car au delà de l’événement en tant que tel et tout ce qu'il s'est passé, les débats par la suite entre les camps opposés, ce qui m'intéresse c'est surtout de revenir sur les arguments et contre-arguments sur la question (entre autre)

"Faut-il séparer l'homme de l'artiste ?"



Ça reste un vaste débat que je trouve personnellement passionnant, on pourrait en causer des journées entières, mais je vais tacher de me contenter de partager mon opinion sans partir dans une thèse philosophique qui me dépasserait à coup sûr et au risque de paraître chiante (Bon ça vous m'direz xD.. )



En réalité, je suis plus débectée, révoltée et lassée que choquée, je m'explique.

Ça n'est pas tant de la récompense du film de Polanski, que je n'ai même pas vu et, de ce fait, dont je m'abstiendrait d’émettre une critique artistique.

Je ne connais pas non plus avec précision l'affaire Polanski et tout ce qu'il a pu faire par le passé, évidemment j'en avais déjà entendu parlé, j'ai vu également quelques uns de ses films, mais j'avoue avoir en partie profité, ou disons que cet événement m'a poussé à en savoir un peu plus avant de porter un avis définitif.



Je condamne toute sorte de harcèlement qu'il soit, j'ai déjà été victime d'harcèlement morale mais je ne rebondit pas sur ce sujet pour parler de mon expérience, car ça n'est pas non plus comparable, jamais subie de viol. Pour autant, sans avoir vécue la chose, ça n'enlève en rien le fait que l'on puisse être logiquement sensible et révoltée face à ce fléau et tout aussi légitime à en parler..



En même temps, ça me paraîtrait totalement surréaliste que l'on n'y soit pas sensible et que l'on ne condamne pas cette dégueulasserie, provenant des faibles et pour qui selon moi, une raison possiblement pathologique n'excuserait en rien d'en venir à un tel acte.

Je vais aller loin, mais je pense que le viol et le harcèlement au stade le plus élevé est aussi terrible qu'un meurtre, dans le sens où les séquelles restent irréversibles, à vie, et ce ne sont pas seulement la vie des victimes qui sont détruites, mais de tout l'entourage.

Si bien que j'ai déjà souvent entendu et visionné des témoignages de victimes qui en venaient à dire qu'elles auraient préféré y passer, plutôt que survivre à ça et y être condamnées toute leur vie.





Voilà pour quoi j'ai la haine, mais que je ne suis pas choquée pour autant, car je trouve ça abominable que certaines personnes sous couvert de leurs statuts social, de leur influence, soient exemptées et que les peines ne sont pas les memes pour tous.

C'est cette justice à double, triple, quadruple vitesse qui est révoltante, enfin, c'est encore gentil de parlé de justice car à ce niveau là, c'est comme si il n'y en avait pas. Car avoir à été condamné à une première peine de 90 jours, en faire 42 pour "conduite exemplaire"

Et, par la suite, fuir les Us et faire une seconde peine de deux mois, être fugitif tout le restant de sa vie et encore à l'heure actuelle, """traqué""" par Interpol.



Sa victime de l'époque alors âgée de 13 ans ayant subi je cite

"viol sur mineur, sodomie, fourniture d'une substance prohibée à une mineure, actes licencieux et débauche, relations sexuelles illicites et perversion."

Cette même victime qui l'avait pardonné publiquement en demandant plusieurs fois l'arrêt des poursuites, on pourra saluer sa bonté divine à ce niveau-là.. :)



Meme si je pense que personne n'est dupe sur le fait que cette décision, la gamine de 13 ans a été plus contrainte à la prendre par de sages conseillers suintant les bonnes intentions, de bonnes relations hein, comme ça plus de problèmes.. :)

(Voilà précisément ce qui me débecte, mais attention, j'imagine que de penser ça, c'est la théorie du complot)



Donc de mon point de vu, le plus gros problèmes est encore et toujours ce rapport au pouvoir, cette pseudo justice, les personnes qui couvrent ce genre de crimes sont tout aussi pourries et à condamner, à combattre que les auteurs des crimes eux-mêmes.



Mais à coté de ça, j'aimerai venir sur les choses que j'ai pu lire, les messages venant de part et d'autre, mais surtout par rapport aux arguments des personnes qui défendaient le fait que l'on doit s'attacher à dissocier l'homme de l'artiste.



D'un coté je peux comprendre ce point de vu, mais ça n'est pas le miens et ce qui est intéressant, il y'a bien un point commun entre eux et moi, c'est qu'avec certains de ces arguments que je vais évoqué sans plus tardé, c'est qu'il y'a une certaine nuance.



En effet, j'avais pu lire que certains reprochaient à celles et ceux qui eux-mêmes ont pu être choquées ou très en colère, dégoûtés par rapport à cette récompense et plus largement au fait que Polanski ne soit pas derrière les barreaux, de ne pas arriver à faire "la part des choses".

Sans parler du fait, qu'en plus de leur reprocher cela, force est de constater qu'ils ont tendance à tomber la provocation ou l'exagération extrême, en qualifiant celles qui selon eux, ont profiter de l'occasion pour évoqué le fait qu'elles aient pu être victime de viol, d'arrivistes et/ou d'employer le terme qui revenait souvent, de Féminazi envers le "noyaux" dur des féministes (Terme que je trouve ridicule, réducteur et totalement déplacé)



Leurs arguments étaient de dire, en gros, que ne pas savoir faire la distinction entre l'homme et l'artiste est un manque d’intelligence, de réflexion, une erreur, que l'on ne pouvait également pas juger une personne dans son entièreté si l'on a jamais vu un seul de ses films.



Ce qui m'interpelle, c'est que ces mêmes gens, qui reprochent globalement à tous ceux et celles qui sont anti-Polanski, clairement exposé leurs avis, certes avec beaucoup d'ardeur et dont les messages exprimaient beaucoup de passions, leurs reprochent exactement ce qu'ils font eux-mêmes.. :)



C'est à dire, être incapable de faire la part des choses, en défendant l'artiste et son potentiel génie, au gré de ses actes malsains et ignobles, dont on a l’impression qu'ils réduisent, voir qu'ils ignorent et détachent totalement cette facette sombre de l'homme et de l'artiste.



Donc eux mêmes manquent de nuance, aveuglés par leur soi-disant objectivisme qui n'est que précaire, on ne peut pas selon moi, reprocher aux personnes qui pensent que l'artiste et l'homme sont en réalité un tout, mais, d'un autre cotés, placer au delà l'artiste de tout ce qu'il a pu faire en tant qu'homme dans sa vie.



Il y'a là clairement soit un manque de nuance et de réflexion, soit (et je penche plus pour cette hypothèse) une malhonnêteté intellectuelle, surtout d'après ce que j'ai pu voir des personnes en questions à travers leurs messages (Insultes, dénigrement, misogynie assumé, prétention etc etc..)



Autre exemple qui fait que je trouve abhérent leur cruel manque de nuance, petite anecdote. Il y'a quelques temps et même encore aujourd'hui, de temps à autres, j'écoutes un groupe que vous connaissez certainement "Noir Désir" dont j'ai toujours bien aimé l'univers, les textes.



J'aime aussi beaucoup le chanteur Bertrand Cantat, je l'ai toujours dit et sans aucuns complexe, je ne vois pas en quoi et pour autant ça ferait de moi une personne qui cautionnerait le meurtre conjugale.

J'estime et je l'ai toujours dit malgré le fait que j'adore l'artiste, que la peine qu'il avait reçu était bien trop courte, et ce qu'importe comment ça s'est passé et dans quelles conditions. Etre condamné à huit années de réclusion au total pour avoir tué quelqu'un, c'est juste pas croyable, ça me dépasse aussi, encore une fois, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne du point de vu de la justice.



Et j'aime beaucoup l'artiste, tout comme je peux comprendre ceux qui reconnaissent et sont fans du travail de Polanski, mais c'est justement ça, pour moi, faire preuve de raison. Savoir reconnaître que qu'importe le talent, aussi inqualifiable qu'il soit tant il est grand, la vie des victimes elles, ont bien plus de valeurs que le plus grands des films ou une chanson aussi magnifique artistiquement qu'elle soi.



Qu'on s'entende, je ne fait pas partie d'un quelconque groupe féministe, logiquement quand il s'agit de défendre ma cause en tant que femme je le fait, mais je ne suis pas de celles qui tombent dans le fanatisme et qui s'accorde à dire que les victimes d'harcèlement ne sont QUE les filles, c'est évidemment ridicule de penser comme ça.



Mais là en l’occurrence, pour le sujet en question, il s'agissait bien de gamines, 13 ans, je n'arrive même pas à imaginer et pourtant je suis du genre assez fataliste pour bien des choses, mais non, ça ça me dépasse clairement d'en arriver à faire des choses aussi monstrueuses.



Et d'un point de vu plus philosophique on va dire, à savoir est-ce que l'homme et l'artiste sont deux choses différentes ou un seul et même être à part entière, compliqué au fond.

Mais je pense que l'homme né en tant qu'homme et non en tant qu'artiste, il peut le devenir très rapidement, influencé par son rapport au monde extérieur, de part son éducation, sa construction ainsi que son évolution de part ses diverses expériences.

Meme si selon moi l'art est un moyen et avant tout un outil essentiel qui puisse nous permettre d'exprimer, de dévoiler des facettes de l'homme faisant aussi parti de ce qu'il est profondément en tant qu’Être.

Donc de ce fait, récompenser le film de son auteur, bien que là en l’occurrence le réalisateur lui-même fut été récompensé, ça n'est pas seulement récompenser le produit artistique ou l'artiste, mais une partie faisant part intégrante de l'homme.



Et donc, de ce fait, je comprends entièrement la position de ceux et celles qui ont pu trouvé de l'irrespect là dedans et qui ont été révoltés.

Moi au delà de l’événement, c'est cette justice sélective et à sens unique, les passes-droits, qui me débecteront toujours.
ChaBianca
Exactement, le deux poids, deux mesures.. xD
Ça ne se fait pas et ça coûte cher aussi visiblement, elle a déconné Adèle, elle est bien gentille la petiote mais elle aurait mieux dû rester assise ou ne pas venir, comme Dujardin..
Scham, reine de Saba
Oui la pédophilie c'est mal et faut lutter contre, mais bon en venir jusqu'à déranger une cérémonie comme les césars et tapper sur les doigts de quelques intouchables franchement ça se fait pas :)
more_vert
À chaque fois que j'entends parler du Coronavirus, ça me rappel cette chanson, quand je jouais à Fallout 4.

Souvenirs souvenirs..
ChaBianca
Tu es toujours adorable Valou, ça me fait plaisir de revenir, mais je n'aurai pas dû partir et réagir différemment pour certaines choses, mais c'est fait..
Edit : Du moins partir aussi longtemps sans rien dire
VALkyrie
Le coronavirus a touché le sport en général, mais nous avons récupéré Chachou et ça c'est beau.
more_vert
Ode à la nuance, Face à quelques vérités dont les facettes puissent paraître irréfutables, impérieuses et catégoriques, dont l'omniscience nous contraints souvent, à devoir museler nos réflexions. La nuance n'est pas le hochet du scepticisme, mais l'amour de l'essence des choses.



Le deux poids de mesure, la rationalisme, la sagesse, l'humilité, la notion de remise en question, devraient êtres toujours à l'ordre du goût du jour, et ne pas êtres obstrués par une justice à deux vitesses.

Les choses qui nous heurtent, qui nous foudroient, qui nous atteignent, les affects, tout ce qui en fin de compte, nous rends tous et toutes finalement égaux en tant qu'être, limités par nos propres jugements ainsi que les concepts, notre perception de ce qu'est la réalité. Alors inimitablement, si l'on manque de nuance d'esprit, de recul et de non acceptation vis à vis de notre vision erronée de ce que peut être, l'Être Véritable.

Ce qui est en soi, logique, car nous ne sommes ni des Dieux, ni des êtres supérieurs, nous ne pouvons savoir dans la plus grande totalité qui est l'autre, si nous ne le sommes pas nous-même.

On s'attache donc principalement à ce qui nous affecte, et logiquement à ce qui affecte ceux que nous aimons, car rattaché aux choses que nous concevons comme bonnes pour nous.



Lors d'un échange où apparaissent des divergences idéologiques, mais qui tournent en un règlement de compte plus personnel, il est souvent question d'interprétation, de jugements de valeurs, de bataille d’ego..

La personne qui, dans ce cas, arrive à avoir le recul nécessaire ainsi que la réflexion de se dire, que ce qu'elle vient de dire, d 'exprimer, puisse être possiblement mal interprétée et/ou heurter la sensibilité de l'autre, son intégrité, devrait être déjà saluer de par sa maturité. Si en plus, elle s'excuse, alors c'est d'autant plus honorable et ça en dit long sur une profonde sagesse, c'est le résultat d'un travail ardent, et rares sont ceux qui y parviennent. À l'inverse, la personne qui, dans le même cas, aie pu blesser l'autre également, mais qui s'en cantonne uniquement à ses propre blessures, qui serai comme "aveuglée" par son inconscience face à l'impact négatif que pourrait avoir ses propres réactions sur l'autre.

Si elle n'entame pas là ce travail de remise en question, elle ne grandira jamais, et qu'importe l'age...
Kolibri
Je suis d'accord avec ces paroles, Miss Cha ^^ L'ego surdimensionné de certain entrainera les plus grandes catastrophes... Car dans ce monde ce n'est jamais la faute de personne, toujours celle du voisin car personne ne se remet en question. Mais sans remises en question, de nombreuses questions qualifie un avenir obstrué par la vanité des Hommes.
The_Legend
“Je n'ai qu'une prétention, c'est de ne pas plaire à tout le monde, car plaire à tout le monde, c'est plaire à n'importe qui.”

Tu devrais ne pas prendre autant à cœur l'avis de certains, ne pas leur donner de l'importance, ce qu'ils peuvent dire ou penser de toi importe peu ... Tu sais qui tu es et les gens qui t'aiment le savent aussi, c'est ce qui compte. Dans la vie, on ne peut pas être d'accord avec tout le monde et on ne peut pas apprécier tout le monde ... Encore heureux !

Donc ignore-les... je te promet on gagne un temps fou et on se sent mieux.
more_vert
?
VALkyrie
Très belle musique à la fois relaxante et aventureuse. C'est incroyable comment ce genre de musiques a le don de te ramener à certains moments particuliers de ma vie à chaque écoute. Merci pour ce joli partage Chachou.
Kolibri
J'ai écouté jusqu'au bout et je trouve que cette musique est faite pour la méditation, avec ce mélange entre musique contemporaine et sons de la nature qui est simplement exquis ? Merci Cha pour ce partage de musiques, toujours très intéressantes ?
more_vert
Bonjour/Bonsoir à tous.

Alors en ce jour, toujours pas de pavés à l'eau de Cologne, mais ayant décidée hier de me lancer dans la pratique des pronos, sachant que depuis mon inscription dans l'univers TTéesque, j'en avais peut être fait deux ou trois au total.

J'avais donc décidé de franchir la ligne et de passer un cap, en me mettant à pronostiquer les 5 matchs de la journée.

C'était chose faite, et je ne comptais pas spécialement aller regarder les résultats par la suite, pour ne pas me faire de mal, mais ma curiosité aura eu raison de ma crainte.

Et à mon grand étonnement, premiers pronos, et première place en tant que pronostiqueuse Canadienne de la journée, ça n'est donc pas sans fierté que je vous brandi haut et fort, un cliché paru dans la gazette Québécoise ce matin.



Les rageux diront chance du débutant ou Photoshop..

https://image.noelshack.com/fichiers/2020/04/3/1579732285-capture-d-ecran-166.png

Si j'ai profité de l'occasion pour me permettre se petit moment de gloire, c'est parce que je suis bien consciente que ça n'a que peu de chances de se reproduire d'ici la fin de la saison (prochaine), je vous prie de faire preuve de compréhension.. :p
The_Legend
Une galère pour obtenir des points bonus :(
Nathan_
Félicitations Cha, commencer avec un 5/5 c'est pas donné à tout le monde. ^^
Profites en bien parce que ça n'arrivera plus tout le temps. :p
more_vert
Je me suis lancée dans la pratique des Tiktok avec une amie, n'hésitez surtout pas à liker et vous abo à ma chaîne de qualité. (Déjà 23 vues) :p
FedNumber1
Haha tiens tiens, Jennifer, ce nom ne m'est pas inconnu non plus. Je dois bien avouer que ces quelques lignes m'ont fait sourire... Il y a quelques temps, je me suis pris le bec avec elle également, suite à des méchancetés gratuites postées sur certains joueurs... Pas un grand argumentaire pour une journaliste c'est indéniable, niveau ouverture d'esprit on a vu mieux, et pour couronner le tout une certaine agressivité dans sa façon de parler... Bref, maintenant je me dis juste que ces gens là ne méritent pas toute "l'attention" qu'on leur porte haha. Laissons-les s'épanouir dans leur méchante ignorance...
ChaBianca
Et t'as entièrement raison sisko, toujours cette solidité sur ses appuis ainsi que ses retours en fond de court celle-ci :p (Et les balles lobées dan un timing parfait et à la précision chirurgicale quand l'autre monte trop près du filet)
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/03/4/1579215253-tumblr-oxkvvblmsu1r3r2wpo1-500.png Puis dans tous les cas j'assume totalement mes propos, et c'est amusant de voir justement (par rapport au dernier échange houleux) la façon dont elle m'a balancé sa pique, pour quelques messages après s'en prendre comme toujours à toi qui a été juste parfaite et clean en lui répondant, pour ensuite me sortir par la suite que moi je n'avais pas à m'emmêler
Le plus triste dans tout ça est que certains l’encouragent dans son agressivité et cautionnent totalement son comportement puéril.
C'est ce qui me révolte tout autant Fab, les gens qui cautionnent, qui surenchérissent, qui rigolent à ses conneries, puis t'as ceux aussi te sortent des "j'ai rigolé" puis quelques messages passés, disent "mais c'est pas gentil quand même" Des génies aussi.
more_vert
Et dire que mes frères m'ont toujours dis que j'écoutais de la musique bizarre, halala..

Du bon dungeon synth, Burzum quoi < 3

Ils sont pas bizarroïdes eux, c'est immersif à souhait, c'est de la pépite choco ça :p

(Bon certes, c'est pas vraiment conseillé d'écouter ça en voiture après une journée de travail harassante et avant une très longue route)
VALkyrie
Tiens, je pense que ça peut te plaire. J'y vais aussi de mon p'tit cadeau !

[video][/video]
VALkyrie
C'est un peu répétitif mais c'est sympa, j'ai bien aimé et ça repose !
more_vert
?
Luc1985
Connais pas, mais l'écriture c'était probablement nordique, mais pas danois, suèdois ni norvégiens donc j'ai pensé aux 2 autres que je connais pas trop. Et la prononciation bien germanique vient confirmer.

Sinon, niveau sonore, c'était pas désagréable et sympa de découvrir qqch de brand new.
ChaBianca
"Islandais" That's a Bingoooo :) J'adore ce groupe et ce clip est franchement sublime *_*
more_vert
Bonjour/Bonsoir les TTistes !



Alors, voilà que je me suis décidée en ces périodes de festivités de fin d'année, de vous souhaitez tout d'abord de merveilleuses et joyeuses fêtes, de bien profiter de vos familles en ces instants qu'il faut concevoir comme étant privilégiés.

Bien qu'au fond, profiter de ses proches et, plus généralement, des personnes pour lesquelles nous éprouvons beaucoup d'affections, que nous aimons, devrait être chose que nous devrions faire à tout instant. Parce que nous ne savons jamais ce qui peut arrivé du jour au lendemain, il est vrais que ça puisse paraître être une tautologie de dire ce genre de phrases d'une évidence quasi absolue.



Mais c'est justement là, selon moi, toute la complexité de la vie et cela reflète bien l'une des nombreuses problématiques chez nous êtres humains. À savoir, concevoir les choses comme si évidentes, que nous avons cette fâcheuse tendance à tomber inévitablement dans une sorte de laxisme envers la vérité bien plus profonde que ces "évidences" nous crient, chaque jours, chaque secondes qui passent, mais dont nous en captons pas forcément toute le subtilités de la sagesse qui en découle. Chaque année, je pense aussi à certains personnes, que je connais personnellement et que peut être vous aussi, de votre côté, vous avez en connaissance, certaines personnes pour qui le cœur n'est pas toujours à la fête en ces périodes, des personnes également seuls et dont les circonstances ne les ayants épargnés, mais tentant malgré tout, de retrouver un peu de chaleur dans le cœur.



Alors oui, pour ma part, la fête de Noel a toujours été et ce depuis gamine et encore aujourd'hui, avant toute chose des moments de partages et d'amour entre proches. Cet amour et ces instants de partages si prodigieux et réjouissants, qui parfois même, nous procurant cette sensation d'évasion par rapport à un quotidien qui se veut parfois plus "rude", de part nos propres expériences de la vie, parfois épineuses.

C'est alors que j'aime à qualifier l'ambiance régnante des fêtes de la Noel, comme étant féerique, évidemment que les décors des villes, des marchés, favorisent et nourrissent allègrement cette propension à la joie.



Je ne comptes pas ici parler de l'aspect plus matériel et fête commercial, car évidemment, il y'aurait beaucoup à dire, mais ça n'est pas vraiment la cause qui m'aie poussée à poster ce petit message. Et certainement aussi, car et c'est encore un avis personnel, pour moi tout réside comme toujours en la perception que l'on a des choses, pour autant, cela n'est aucunement en disant et pensant cela, que je renierai des aspects plus factuels. Mais nous connaissons aussi, des personnes pour qui les fêtes ne sont pas forcément guises d'enchantements propices aux ravissement, pour diverses raisons que je pourrais également comprendre.



Alors profitons, profitons tant qu'il est encore temps et tant que nous le pouvons car le temps lui, ne nous attends pas. Alors, pour ceux et celles qui comme moi, cherchent perpétuellement l'évasion, ou du moins, le début du chemin nous menant à sa destination,



Et je tenais à en profiter également, car l'occasion s'y prête en ces fêtes de fin d'années, d'évoquer mes bonnes résolutions pour la saison prochaine, je tiens à la faire avant une potentielle consommation abondante de verres de Sortilège (parce qu'après, j'ai tendance à oublier, j'sais pas pourquoi)

Mais pour être disons, plus en phase et/ou en adéquation avec le contexte, j'ai longuement et mûrement réfléchie quant à une liste de bonnes résolutions spécial et en rapport avec l'aventure TT. Car au fond, depuis quelques temps maintenant, cette cyber-aventure fait aussi partie de ma vie trépidante et m'a fait vivre jusqu'à maintenant, des moments tout aussi mémorables et magiques au même titre que mes péripéties quotidienne en tant que dresseuse de caribous sauvages agrégée.



La Chachiste des bonnes résolutions 2020



1 - [Ecrire des pavés] encore plus conséquents, mais sans pour autant lésiner sur la qualité.



2 - [Regarder beaucoup plus de matchs] Effectivement, ce qui est amusant à constater pour ma part, c'est que malgré le fait que je me sois inscrite pour la première fois sur un site consacré aux passionné(e)s de la balle feutrée, assistant cette saison à la plus faramineuse de toutes les saisons de ma joueuse préférée.

Et bien malgré tous ces facteurs, paradoxalement, c'est cette année où j'ai peut etre eu le moins de temps pour pouvoir suivre beaucoup de tournois, mais pour autant je ne m'en plains pas tant que ça, les raisons à cela sont diverses et toutes ne sont pas d'ordre contraignantes. Car en effet, il y'a eu aussi beaucoup d'heures et de journées passées à vivre des moments merveilleux en la compagnie de certaines personnes ici, la découverte de gens fabuleux dont je n'aurais jamais pensé pouvoir autant m'attacher, en si peu de temps, inutile de faire un listing car je pense qu'elles se reconnaîtront évidemment, beaucoup d'heures de clavardage qui resteront à jamais gravés dans ma mémoire et dans l'coeur < 3 Et pour tout ça, je vous dis merci infiniment !



3 - [Continuer à encourager] et hurler, telle une groupie au premier rang des tribunes, sur les fdm's de Bianca et Simo avant tout, plus globalement, de continuer à supporter mes jouesues favorites. Sans pour autant tomber dans le piège qui serait de ne pas m'ouvrir qaunt au fait de suivre d'autres joueuses et d'en découvrir, résolution que j'ai d’ailleurs prises au court de la saison :p

Mais il se trouve que pour cette résolution, ça se fait naturellement donc en soit, c'est plus une mécanique d'ordre instinctif, mais dans tous les cas, transmettre du mieux que je peux mes bonnes énergies bien que lointaines, consacrées à l'amour de mes chouchoutes.



4 - [Moins d'échanges houleux et moins de "clash"] (Résolution high level)

Alors, voici ici une résolution qui je dois dire, me tenais assez à cœur, celle-là xD

Il se trouve que pour celle-là, j'aurai tellement à dire, je pourrais écrire durant plus d'une demie heure sur ce genre de sujets car il y'aurait énormément à dire, mais surtout, je tiens comme toujours à nuancer tout ça :)

Il se trouve que depuis mon inscription ici, j'ai quelques fois, voir souvent, été actrice lors de débats sans pour autant que ça soit des échanges disons, plus approfondis que ça, mais je suis une personne qui s'est découverte une passion pour l'échange d'idées, le débat d'opinions et la confrontation, les divergences mais quand ça se passe dans le respect. (Comme tout être humain(d) normalement constitué j'imagine, qui aime s'abandonner à des des cyber-clashs, quand l'échange argumentatifs ne passe plus qu'à coup de jets de pierres ?)

Je disais donc, je suis de nature à adorer débattre, échanger avec tout le monde et sur n'importe quels sujets, et ce meme sur des sujets dont je manque de connaissances, justement dans un but d'en apprendre et d'en ressortir plus "grandie".

Mais je peux avoir également, et j'ai, un tempérament assez fort, lors de certains échanges, ce qui peut avoir tendance à me jouer des tours, dans le sens ou j'ai souvent du mal à passer à autre chose quand les choses peuvent tourner à la mauvaise vinaigrette x)

Je sais aussi que de nature, ce qui prédomine chez moi, c'est le cotés plus porté sur la dérision, un humour et un second degré présent par intermittence, car je sais aussi être un peu plus sérieuse quand le contexte s'y prête, bon jamais longtemps..

Mais dans tous les cas, là ou je veux en venir, c'est que c'est jamais évident et j'ai vu que ça vaut aussi pour tout le monde, du moins les membres qui aiment aussi beaucoup débattre, de trouver le juste millieu, de ne pas déraper et ce malgré les provocations qui peuvent etre à l'origine de certaines situations plus animés.

Ça prend souvent des proportions totalement démesurées, c'est complètement regrettable et ça n'a jamais été ce que je recherche lors d'un possible débat.



Mais ça m'est arrivée de déraper, certes j'avais potentiellement mes raisons, mais le fait est que dans tous les cas, il faut se montrer plus intelligent et pour ça, pas vraiment d'excuses possible, tout le monde doit se remettre en question, toujours.

Alors je continuerai à défendre mes idées et mes opinions, comme je l'ai absolument toujours fais et jamais je ne lésinerais sur ça, en revanche, quand je sentirai que ça prend des proportions limites, c'est là que je tâcherai de mettre en place cette résolution.



5 - Moins claquer des jambes quand ma favorite se prend une remontada, en me disant que j'en ai besoin pour aller nager.



Et enfin 6 Profiter toujours plus des gens que j'aime, ça fait bateau toujours de sortir ce genre de phrase, mais c'est pas grave, t'façon je me suis toujours dis que j'aurais pu faire une bonne navigatrice. Mais oui, continuer à prendre autant de plaisir, ça vaut évidemment dans la vie de tous les jours, mais comme là c'est aussi consacré à cette expérience, il faut voir chaque échange aussi enrichissante qu'elle soit avec des personnes de tout horizon, comme un cadeau de Noël avant l'heure :)



Sur ce encore une Joyeux Noel à vous tous ainsi qu'ç vos proches, mention spécial pour les plus vaillants qui auront eu le courage de lire, je devrais vous payer je me dis limite..

https://sd.keepcalms.com/i/keep-calm-and-noyeux-jo%C3%ABl-2.png
Timothee.
Vous 3 vous formez la secte des pavés
Timothee.
C est vrai elle s est un peu calmé
more_vert
Le Schamoitage d'or n'est que pur obscurantisme, là où le lien siskonien, lui, est archangélique, perpétuel et innocent.

L'or déjà, n'est que matérialisme, fruit et cause de guerres comme son apparenté l'argent, réduisant l'humain en un piète consommateur d'un plaisir éphémère, sans goûts.

Il est arrivé, un beau jour, sur le tard, comme ça, voulant régner et détruire des valeurs bien plus antérieures et pures, valeurs survivantes au gré des oppressions atmosphériques, visant à infecter, ainsi qu'à déraciner un lien ancré depuis bien des générations. Telles des pluies de cyanure s'abattants sur le bellissime village de Rovaniemi, le Schamoitage d'or pille, tue, assassine femmes et enfants, gratuitement et sans la moindre pitié, sans aucune impunité.

L'heure est grave, cet amour factice animé par des causes malgracieuses et empruntes des racines du mal, se voulant être emplit de bonnes intentions en apparence, mais pourtant né de la mauvaise flèche de Cupidon, est un fléau de tout instant.

Notre peuple ne peut continuer à subir tant de pertes sans réagir, je ne voulais pourtant pas en arriver là, mais la menaçante adversité ne me laisse pourtant d'autres choix, le dialogue n'a pas suffi, la démarche d'un accord fut été bafoué en ce jour d'hiver, le Nord se souviendra.

C'est alors que je compte, élancée par l'hardiesse qui me gagne peu à peu, défendre ce lien, soulevant mon glaive, seule et affaiblie, mais sereine.

Car au fond de moi, dans tout mon être, résonnent les doux, mais néanmoins dominants, battement de mon cœur alimentés par la source originelle siskonique, dans une parfaite siskonicité qui reste et restera vive et indéracinable à jamais.



Hän on siskoni, loppuun asti.
ChaBianca
Merci beaucoup à toi Nathan :D
Et bien à dire vrais, on peut effectivement le voir percevoir et concevoir sous cet angle, pour ce qu'il s'agit s'agit d'une possible référence historique, en réalité c'est plus basé sur une forme fictionnelle. Disons que la racine de l'idée qui m'est venue et les causes qui m'ont poussées à écrire ce petit texte, c'est un entremêlement de convictions, d'humeurs spontanés, de passions. Ces éléments qui composent animent couramment mon inspiration, quand j'écrivais des textes sortants un peu de l'ordinaire, comme il y'a quelque temps maintenant.
En l'occurrence, pour celui-ci, c'est avant tout plus une déclaration qui se veut plus personnelle pour celui-ci :p
il y a certaines murailles pour lesquelles ne serait-ce que croire pouvoir les briser est une pensée indécente
Jt'aimou enaurmement aussi ma sisko < 3
Et c'beau ce que t'dis là, la meilleure des poétesses, ces murailles resteront éternellement et à jamais imprescriptibles, habitées et renforcées par un lien si fort et dont la valeur est bien trop authentique, pour être brisées.
Scham, reine de Saba
J't'aimou twa xD xD ❤️ il y a certaines murailles pour lesquelles ne serait-ce que croire pouvoir les briser est une pensée indécente
more_vert
Ayou celle-là < 3
Luc1985
Les meilleurs Blink 182 sans honte (tjrs le clip avec Hillayr Duff, I miss U) , les meilleurs Red hot aussi pour reprendre le mess à ValKyrie.
Luc1985
C'est pas du tout mon genre également, moi j'écoute du rap, R'n'B, électro principalement mais aussi du pop et pop rock (un peu secondairement, mais en fait un peu de tout quoi) et celle que j'ai cité, elle est trop incroyable.
more_vert
Le jeu de La pire situation

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/50/2/1576010163-andrea-petkovic-twitter.jpg



Car dans la vie, tout n'arrive pas toujours comme nous le souhaitons..

Parmi ces 10 situations délicates, veuillez choisir laquelle est pour vous, la pire :p



1 : Etre prisonnier durant une semaine dans le plus beau magasin de confiseries, les meilleures de votre ville. en ayant appris la veille qu vous étiez diabétique.



2 : Se rendre compte que vous n'avez plus de PQ, pas le moindre kleenex ou morceau de papier, alors que vous venez de faire la grosse affaire. Qu'il y'a une coupure d'eau et d’électricité chez vous, que le premier voisin est à 40 km et que dehors, il pleut à boire debout.



3 : Rédiger un travail durant des mois sur votre ordinateur, à rendre dans votre université en fin d'année, lorsqu'un jour votre ordi plante, vous l’amenez chez le réparateur et il vous annonce que pour une raison inconnue, vos données sur le disque dur ne peuvent pas êtres récupérées. Et que par insouciance, vous n'avez jamais pensé à mettre les 2867 pages de pdf sur une clé.



4 : Assister au concert de votre chanteur préféré, que vous vénérez depuis plus de 30 ans et qu'à un moment, il choisit une personne au hasard dans le public. Le projecteur tourne et se fixe enfin, en plein dans votre direction. Tout fière et hyper ému, vous vous levez emplit de joie et que là, votre idole viens chercher la personne qui est assise juste à côté de vous et qui est arrivée une heure en retard au concert, 10 minutes avant ce moment.



5 : Etre enfermé dans un vieil et petit ascenseur en panne, durant une nuit avec une personne à l'hygiène corporelle fortement douteuse.



6 : Apprendre que votre fille est devenue une fane de Cori Gauff, mais surtout, qu'elle passe maintenant toutes ses journées devant son Insta, au détriment de votre complicité d'en temps..



7 : Avoir acheter une place pour un Master grâce à toutes vos économies durement gagnées préalablement, avoir réserver votre place depuis des mois à l'avance pour assister au match de votre joueuse favorite.

Etre à la meilleur des places dans les loges, 3 avant le match, le match commence, votre chouchoute prend un mto dès le second jeu, suite auquel elle abandonne.

Bilan médical : fracture du petit orteil du pied gauche.



8 : Etre contraint à regarder tous les highlights du joueur ou la joueuse que vous détestez le/la plus durant 12 heures d'affilées, et subir des ondes chocs électriques de 600 volts si vous détournez le regard.



9 : Se réveiller un beau jour dans le corps du sexe opposé, tout en gardant la même identité (et la même voix)



10 : Apprendre le tout dernier jour de votre vie, juste avant de décéder, que la réincarnation existe, et que lors de votre prochaine vie, vous serez réincarnée en limace.
ChaBianca
Moi aussi sisko, mais c'est justement par manque de culot, que j'ai tourné la chose en plus soft. Et je mérite limite la pendaison sur place publique TTéenne, pour avoir bridé mon goût du trash volontairement.. x)
MastersLucas
Balance nous tout :)
more_vert
Nortounet in France.
ChaBianca
Effectivement, oui no spoil, bien que j'ai encore du mal à me dire que des gens ne l'auraient pas encore vu, sachant qu'il fait parti des ces films cultes, mais générationnel, atypique, donc finalement je peux concevoir aussi ^^
Et pour moi l'un des meilleurs rôles de Brad Pitt également, à savoir que lui aussi fait largement parti de mes acteurs fétiches et meme pas plus que ça par rapport au physique, enfin si, pour ce qu'il dégage, son charisme, mais pas uniquement ou spécialement pour sa plastique.
Je l'ai tant aimé dans celui-là, dans Inglourious Basterds, Seven et aussi Fury, bien que ce dernier n'est pas l'un de mes films phares, mais j'avais quand même adoré son jeu d'acteur dedans et l'ambiance du film.
VALkyrie
Fight Club contient l'un des plus gros twist de l'histoire du cinéma, mais bon no spoil pour les gens qui ne l'auraient pas vus ^^
more_vert
Le manque



Le manque de toi, le manque d'elle, ou de lui, le manque d'une époque, le manque de ce que j'ai perdu, le manque de ce que j'étais, de ceux qui sont partis, pour toujours.

Le manque, cette sensation de vide intérieur, qui tout à la différence d'une sorte d'insensibilité, elle, elle nous rend forts sensibles, elle nous détruit, déviation sur la route de la joie.

Le manque n'est pas comme une question sans réponses, il est la réponse qui triomphe d'elle, la connaissance de la cause du manque puisse toujours nous apporter un possible apaisement, un certain laxisme de l'intellect, mais qui n'est qu'éphémère quant il s'agit du cœur. Le manque est la punition qui nous atrophie, qui nous brûle, qui nous torture à cause de notre égoïsme, oui car nous pensons toujours, que tout doit nous appartenir, que tout est sous notre contrôle, que les sentiments fonctionnent toujours dans un sens, que l'on est toujours les seuls, à souffrir.

Quand il est comblé, le manque nous donne l'illusion de s’être évaporé, de disparaître à jamais, jusqu'au jour où l'illusion subit la mise à nu et prend une claque d'une violence et d'une force herculéenne, par le retour à la réalité.

Il revient, encore, toujours, il n'est jamais parti, il est là, en nous, nous rendant impuissants et en proie à ses flèches qui nous transpercent l’âme, impossible de lutter, seulement d'accepter le tragique.

À croire qu'on le cherche, qu'on le provoque, à croire qu'on aime avoir mal, qu'on joue avec lui, que l'on aime à espérer autre chose, sans se rendre compte de la chance d'avoir ce que l'on a déjà, juste là, tout prés de nous.



Le manque, il est perfide, car il nous ronge et nous brise, sans nous mettre ko dès le premier round, ils nous confronte à une épreuve marathonienne, il nous consume, il m'use. Je suis usée, usée de devoir chercher à le combler sans cesses, à être condamner à pleurer, à lutter, à tenter de faire abstraction, à jouer les forces de la nature, à me sentir profondément seule, mais jamais sans lui.

Il opère partout, dans tous les secteurs, ce qu'il adore avant tout, c'est nous surprendre et revenir toujours plus fort, bien sûr, là où il est excelle, c'est en amour.



Quand il arrive après que l'un ou l'une de nos proches est parti, il emporte avec nous une partie de nous, il nous donne l’impression de boire du cyanure à la place de l'eau, il nous donne une hémorragie du cœur en guise de cadeau.

Il ne faut pas croire, on ne dirait pas comme ça, mais il est d'une générosité sans égal, il nous aime et nous chérit.

Tu m'as laissée comme ça, seule dans la mer sans vagues, sans mouvements, sans vie, je dois me débrouiller seule, seule avec ma chaire, seule mes souvenirs heureux, mais que je ne peux plus partager avec quiconque, mon cœur échoué tel un plancton isolé et noyé dans les abysses.

Tu veux m'avoir ? Mais tu ne m'auras jamais autant que je suis, tu crois vivre en moi, tu crois pouvoir dicter ma vie comme bon te semble, tu veux continuer à me hanter, tu n'y arriveras pas, jamais, tu auras beau emporter tout ce que j'aime, j'en trouverai d'autres.



Non, je sais, je sais que l'on dit ça pour se rassurer, au fond le cœur continuera à battre et à saigner, les yeux à pleurer, les émotions à nous envahir, mon souffle continuera à se couper, jusqu'au dernier...

Mais je suis en vie, et ça n'est la folie qui me fait comprendre ça, je veux dire, le comprendre viscéralement, je suis en vie et je ne veux plus jouer en subissant tes règles infâmes, je suis une anarchiste sentimentale, une nomade vagabondant de ruelles en ruelles, seule ou accompagnée, mais heureuse.

Je ne veux plus de toi, je ne veux plus à avoir à te combler, je veux seulement t'oublier, je veux m'oublier, je ne veux plus que tu transforme mon âme en une bâtisse en ruine, je ne veux plus jamais être une de tes martyres, avec tout le respect que je dois à Baudelaire.



Je continuerai à ressentir, à aimer, à avoir le goût du risque, à fumer, à rire, à me promener dans l’inconnu, à avoir la fureur de vivre, à chanter, à planer, à brailler, à lutter, à partir, puis revenir, à suffoquer, à m'attacher, me détacher, à comprendre que je n'ai jamais rien compris, à mourir, à vivre.
Guingamp
On est paquet sur ce site à savoir particulièrement ce que c'est le manque depuis le 14 juillet...
ChaBianca
Si si cha va Valou, t'inquiètes po, promis :p Ça ne va pas toujours, mais rien ne dure jamais éternellement, les jours de joies tout comme les jours tristes, mais les jours tristes ne durent jamais très longtemps avec moi ;)
more_vert
La dureté du mental



https://image.noelshack.com/fichiers/2019/47/3/1574216905-bianca-andreescu-romania.jpg



Cela n'est pas une notion abstraite, bien que cela a tendance à le paraître, il n'est pourtant aucunement question de paraître, ici.

En travers les ronces épineuses, au delà de la broyeuse scabreuse, les pentes périlleuses et tumultueuses des idéaux prônant une plantureuse raison, caricaturant la dureté du mental d'un air dédaigneux.

La naissance quasi inespérée de la dureté du mental tâche à y gagner sa légitimité, envers et contre la vulgarisation excessive, celle d'un combat rudement mené, cette bataille au nom de la succulence, de la finesse, de la grâce sous toutes ses formes divinatoires. La voilà usée, usée et déchirée par les plaies qui la tiraillent, fracturée par cette source de vérités empiristes, la voilà dors et déjà noyée dans un puits d'acide, tentant malgré tout de retrouver véhément son troisième souffle, puis, rester fière.

La dureté du mental est la proie idéale de la meute qui cherche à la réduire, la classer, puis la répertorier dans les dossiers clownesques, la laissant s'y détériorer toute seule, flétrie et meurtrie, sans aucune once d'espoir de revenir sur le devant de la scène des valeurs présélectionnées d'un état de pensé hiérarchique.

Et si malheureux, tu lui accordes une infaillible crédibilité, pire encore, que tu tu surprennes à l'aimer.. Alors, tu deviendras inévitablement toi même, un soldat, ou une valkyrie, au service de tes convictions profondes, celles qui font que tu es ici en ce moment présent. Prêts et prêtes à faire face aux prôneurs d'une certaine intelligentsia, dont le projet initial était certainement né d'une meilleure intention, que celle qui consiste dorénavant à vouloir t'éblouir de part leurs étincelantes parures fournies de paillettes dorées, en guises de raisonnements qui se veulent plus constructifs.



Un jour, sur une feuille de match, je me souviens que l'on m'avait demandé si j'avais déjà côtoyé de près ou de loin un court de tennis, sous-entendant que je ne faisais certainement pas la différence entre une piste de Bowling et un terrain de tennis.

Ce jour-là, grâce à la dureté du mental, je me suis retenue de répondre que le fait de côtoyer est une pratique dont le distance entre la "chose" côtoyée et le côtoyant, équivaut à celle de la surface de l'eau et les profondeurs de la fosse des Mariannes.

Mais si j'avais répondu ça, j'aurais certainement dû expliquer plus précisément mes propos, et j'aurais possiblement gagné la bataille de l'argumentation, ce qui m'aurait donner l'occasion de remuer mes cheveux en mode slow motion pub pour l'oréal, mais non, je ne voulais pas. La dureté du mental m'a préservée, elle m'a chaperonnée face à la tentation hurlante sur mes tympans usés, de devoir prouver ce que je sais, ce que je suis, dans le but de gagner une crédibilité accordée par sa seigneurie empuantie d'arrogance.

La dureté du mental, elle va et vient, elle renforce autant qu'elle nous consume, dans une illusion de contrôle, mais le contrôle est une utopie, rien ne frappe jamais plus fort que la vie. Elle fonctionne dans le sport comme dans la vie, car la vie est un sport, le sport c'est la vie, j'abandonne un style littéraire qui n'est le miens, qui ne l'a jamais été, je suis moi-même une de ces siphonneuses s’appropriant une chose qui la dépasse très clairement, dans le fond, qui suis-je moi, pour parler de la dureté du mental ?



Puis-je en parler sans intellectualiser, sans théoriser, ce qui n'est pas sans me rappeler cette scène magnifique, dans "Good Will Hunting"



"Si je te dis de me parler d’art, tu vas me balancer un condensé de tous les livres sur le sujet. Michel-Ange, tu sais plein de trucs sur lui. Sur son œuvre, sur ses choix politiques, sur lui et sur le pape, ses tendances sexuelles, tout le bazar quoi. Mais je parie que ce qu’on respire dans la Chapelle Sixtine, son odeur, tu connais pas. Tu ne peux pas savoir ce que c’est que de lever les yeux sur le magnifique plafond. Tu sais pas."



Ouais non, effectivement, je ne sais pas, car elle ne m'a jamais épargnée de la souffrance, du calvaire suintant le martyre produit par les sentiments qui nous foudroient, toujours, telles des marrées d'écumes, si délicates et belles soient-elles, mais envahissantes, nous ramenant à cette sensation d’éphémèrement confrontée à l'adversité.

Je l'admire chez l'autre, la dureté du mental, a fortiori chez la joueuse que j'admire par dessus tout, je ne la vois pas comme un modèle, je la vois comme m'étant aussi familière qu'un membre de ma propre famille, avoisinant la chaleur du cœur, rassurante, presque sensuelle sous ses ardeurs de rudesse, elle est viscéralement libératrice.

Elle n'est pas l'outil de l’être plus fort qui le rendra dominant et lui servira à affaiblir l'adversaire, elle est le plus grand des combats avec soi-même, c'est un conflit interne dont la victoire offrira la fierté en guise de récompense, mais aussi et surtout, le fait de regagner la confiance, qui est bien plus dure à trouver que le plus rare des matériaux.



[Mise au goût du jour]



Je m'abandonne pour le coup, à une plus grande improvisation pour ce passage, sachant que sa présence n'était pas prévu avant publication du topic.

Tout en en tâchant de ne pas me laisser non plus, trop emportée, consumée par une vague d'émotions m'envahissant soudainement.



La dureté du mental, c'est aussi, le fait de pouvoir être suffisamment forte quant il s'agit de faire la part des choses, à savoir, que lors d'un échange d'idées, un débat, que l'on en une façon d'écrire ""différente"", typiquement propre, mais qu'elle n'est pour autant pas née d'un but voulant se confondre dans le paraître.

Quand on échange avec des arguments constructifs, possiblement tranchants parfois, car un débat d'opinions, c'est aussi, qu'on le veuille ou non, un combat engageant notre crédibilité, mettant en jeu notre petite fierté.

Mais quand, votre opposant(e), n'est pas dans cette même dynamique, à savoir le combat d'idées, et ce qu'elle qu'en soit la raison, car il peut y'en avoir des tas, à savoir (au hasard) quand dans le camp d'en face, les arguments se veulent plus pauvres et fragiles, alors, la technique consiste à s'attaquer à la forme.



Attaquer la forme tout en touchant le fond, mais s'en sortir malgré tout en retournant la situation à son avantage, tel un chat retombant sur ses pattes arrières après une chute du 11ème étage, mais qui sait d'avance que le sol lui sera toujours d'un soutien favorable.

je me demande, juste comme ça, pour quelle raison le fait d'écrire des messages longs, détaillés, d'avoir un amour pour la nuance viscérale et instinctif, que rien n'est calculé, ou, plus formellement, que l'on s'attache à s'appliquer à écrire, pour quelle raison cela est souvent perçu comme étant avide se sens, redondant et provocateur ?



J'avoue être un peu perdue suite à ces questionnements, car apparemment, ce qui prime et à le mérite d'accorder une plus grande légitimité, souvent, ça serait d'écrire dans un style minimaliste, mais toujours perçant, avoir la petite phrase qui fait mouche et mal, dans le but de décrédibiliser l'autre, de le ridiculiser.

Je pense que l'un des plus gros problèmes qui pourrait expliquer la chose, c'est le fait d’être parée quant à l'acceptation d'avoir tort, d'accepter que nous ne savons pas tout et que le fait de défendre ses convictions profondes, ses idées, coûte que coûte, reste à mes yeux bien plus important que celui qui consisterait à vouloir paraître supérieur à la vu de la foule.



La dureté du mental, c'est quand tu défends tes opinions avec passion, et que tu gardes le cap, même si en face on chercher à te casser les jambes grâce à des subterfuges puériles.

J'adore l'échange, je ne sais pas vous, mais ça me vivifie, j'aime ça, j'aime même encore plus avoir tort mais en ayant comme récompense apprise quelque chose face à celui qui a raison, plus encore qu'avoir raison pour pouvoir être adulée par mes proches.



Mais quand on chercher à écourter l'échange en te balançant que le fait d'expliquer, de plus largement réfléchir avant d'écrire, de comprendre, quand on te fait clairement ressentir à coup de fins de phrases voulant systématiquement te mettre à terre, pour écourter l'échange et te faire comprendre que tu n'as pas ta place sur le ring.



Alors, dans ces cas là, à quoi bon lutter ?



J'écris comme je suis, je suis comme j'écris, j'ai bien compris que tout ne dépend pas de ma seule bonne volonté, que je ne pourrais jamais me taire quand il s'agit de défendre mes idées, quoi qu'il advienne, je ne flancherai jamais, tant que la notion de respect est présente.

Et puis il y'a ces nouveaux membres aussi là, toujours les mêmes, des cas récalcitrants, ils poussent comme des champignons, débarquent comme ça et avant de passer le palier de la porte sacrée, tout en oubliant de s'excuser d’être rentrés avec leurs nouvelles têtes.



La prochaine fois promis, si ça peut aider à adoucir l'image, j'y réfléchirais à deux fois avant de dire que j'aime bien Laura Siegemund, j'enlèverais peut être mes bottes avant de pénétrer dans le dojo





... mais jamais mon kimono :p





(Avoir la couenne dure, c'est important)



https://image.noelshack.com/fichiers/2019/48/2/1574730703-8da0e4708654d7f8cd267b4a33ffee46.png
Nathan_
Je me retrouve dans à peu près tout ce qui est dis. Pour moi le mental c'est savoir se relever, tirer les leçons de nos erreurs pour ne plus les commetre. C'est également s'affranchir des règles de la société. Société de l'image qui nous pousse à être malhonnête avec nous même. Et pour toutes ces raisons c'est souvent plus dur qu'on ne le crois, le mental. C'est un chemin pentu parsemé de rochers qui veulent sans cesse nous faire reculer. Et parfois quand on atteint le sommet on se surprend à retomber inéluctablement dans l'autre versant. C'est ce qui me pousse à réfléchir sur la vérité caché, sur le sens de tout ça.
YoannGo
Il était 1 heure du mat passé chez moi lorsque j'ai commencé, c'est peut-être un peu trouble par moment mais c'est comme si on suivait le fil de ta pensée... d'ailleurs si j'ai bien compris tu écris ça tout d'un trait en gros, du coup je trouve que le gros avantage c'est que les émotions ressortent bien... malgré la grandeur du texte je suis resté captivé pour savoir ou tu allais nous emmener... j'aurai bcp à dire mais il est tard chez moi (1 h 20) et mon clavier fait du bruit je vais réveiller mes voisins de chambre lol

Très intéressant en tout cas ça donne à réfléchir !

Merci pour la lecture et à bientôt ^^
more_vert
*Toc toc* C'est qui ?

(Interdiction de faire recherche image, j'connais la technique de filou)



PS : Attention il y'a un piège.

https://image.noelshack.com/fichiers/2019/47/7/1574568141-bianca-andreescu-childhood-story-plus-untold-biography-facts-2.jpg
Guingamp
J'espère que tu m'en voudras pas mais la première chose que j'ai fait c'est de braver l'interdiction xD
Scham, reine de Saba
Excuse moi Simo je t'aime :'( :'( :'(
more_vert
(En attendant un futur pavé à la sauce brune, en manque d'inspiration, je compense musicalement)

Oui bon c'est hyper connu apparemment, sauf que moi j'ai découverte il y'a peu et depuis, je l'écoute en boucle et j'aime ce clip forestier ^^
VALkyrie
Oui c'est vrai, mais Val a choisi un morceau assez rythmé de Dream Theater :p leur marque de fabrique repose vraiment sur une sorte d'ambiance du style Misunderstood, Disappear ou le chef d'oeuvre Octavarium !

Tu as raison, c'est vrai que je n'ai pas choisi un morceau qui représente réellement ce qu'est Dream Theater. Mais bon, j'écoutais Room 137 donc du coup j'ai voulu la partager ^^ Mais j'aurais pu en prendre une autre en fait.. Misunderstood est énorme, le refrain est excellent et la fin part dans tous les sens. Disappear j'adore, mais pas en boucle car elle a vraiment le don de me déprimer. En tout cas, j'adore Six Degrees of Inner Turbulence. L'un des meilleurs albums du groupe je trouve.
Purée.. Octavarium est excellent, ce groupe m'a vraiment montré que la longueur d'un morceau importe peu. Ok, il dure un peu plus de 20 minutes mais on ne s'ennuie jamais. D'ailleurs, Octavarium (l'album) est un de mes albums préférés de Dream Theater :)

Raaa comment ne pas accrocher à l'album Unia Val ! Les titres de cet album sont tellement hors de toute composition classique ! Ca a été une de mes plus grandes claques ^^

Après je ne vais pas faire comme beaucoup de fans de Sonata Arctica ont fait en disant "lol c'tro d'la merde". Ils ont voulu changé de direction, mais j'ai pas réussi à accrocher. Malgré tout je reconnais qu'il y a quelques morceaux que j'ai bien aimé dans l'album Unia. J'ai par exemple beaucoup aimé Paid In Full, For The Sake of Revenge et My Dreams but a Drop of Fuel for a Nightmare.
Moi comme j'ai dis plus haut ma période préférée de Sonata Arctica ça restera Ecliptica jusqu'à Winterheart's Guild. Je n'oublierai jamais Silence, pour moi il reste encore aujourd'hui le meilleur album du groupe..

Bon choix Black Sheep, mais si on veut du bon riff déjanté j'aurais plutôt pris Wolf & Raven :p j'ai un amour tout particulier pour Sonata de toute façon, car j'ai à ce jour pas encore trouvé de meilleur chanteur que Tona Kakko !

Là tu viens de citer un de mes morceaux préférés du groupe, Tony Kakko est déchaîné sur Wolf And Raven. Land Of The Free est énorme aussi, en ballade Last Drop Falls me procure toujours énormément d'émotion. Tellement de choses à dire sur cet album... Aaah il est spécial Tony Kakko, lui et James Labrie c'est quand même quelque chose !

J'adore comme tu répliques à la musique de DOOM par...l'intro de KH2 xD

J'ai même pas fait exprès en plus :D

Lui et KH Birth By Sleep m'ont émerveillé à un point que je ne pensais plus possible depuis le quatuor magique que sont les Final Fantasy du 7 au 10

Il faut que je fasse Birth By Sleep après avoir fini Kingdom Hearts II, on m'en a dit que du bien.

Je suis en ce moment sur KH 2.8, j'ai un peu de mal à accrocher à Dream Drop Distance, qui me fait pour l'instant clairement penser à un 2e Re:Coded au niveau scénario, seul KH que j'ai vraiment trouvé vide...

Je ne le connais que de nom Dream Drop Distance, et Re:Coded lui non plus je ne l'ai encore jamais fait. Pour ce dernier j'ai l'impression qu'il est assez boudé par les fans, du coup ça m'emballe pas vraiment pour y jouer par la suite...

Du coup j'y vais de ma contribution aussi avec ce que j'écoute en boucle en ce moment, qui me met de super humeur *___* lié à un manga assez vieux mais que j'ai découvert il y a seulement 2 mois...

Du coup j'y vais de ma contribution aussi avec ce que j'écoute en boucle en ce moment, qui me met de super humeur *___* lié à un manga assez vieux mais que j'ai découvert il y a seulement 2 mois...

Je me souviens que quand j'achetais encore des mangas je voyais souvent le nom de ce manga dans les rayons, mais je ne l'ai jamais lu. Je me souviens que le seul que j'ai terminé c'est Dragon Ball, entre autre (sans aller au bout) j'ai lu Shaman King, One Piece, Bleach.. Sympa la musique sinon :p même si je ne suis plus du tout dans l'univers des mangas ça ne me dérange pas d'écouter des musiques de ce genre.
Khaas
je suis en train d'écouter Sonata Arctica, je ne connaissais pas du tout et je ne connais pas non plus le genre "Power" je t'avoue, il y'a pas mal de similarités avec celle qu'a partagé Val pour le coup.
Oui c'est vrai, mais Val a choisi un morceau assez rythmé de Dream Theater :p leur marque de fabrique repose vraiment sur une sorte d'ambiance du style Misunderstood, Disappear ou le chef d'oeuvre Octavarium ! Les morceaux plus "power" comme Room 137, Panick Attack ou The Dark Eternal Night sont plus rares dans leur discographie, et se font souvent avec une patte plus sombre que Sonata Arctica ou Stratovarius.

J'ai beaucoup aimé Alcest, bien que comme vous je n'apprécie pas du tout le grunt, la chanson m'a un peu fait oublier la voix, tant la musique était prenante ! Si t'en as d'autres comme ça je suis preneur, parce que ma culture musicale est très faible.

Raaa comment ne pas accrocher à l'album Unia Val ! Les titres de cet album sont tellement hors de toute composition classique ! Ca a été une de mes plus grandes claques ^^
Bon choix Black Sheep, mais si on veut du bon riff déjanté j'aurais plutôt pris Wolf & Raven :p j'ai un amour tout particulier pour Sonata de toute façon, car j'ai à ce jour pas encore trouvé de meilleur chanteur que Tona Kakko ! Malheureusement je ne peux me targuer d'avoir des origines finlandaises comme ChaCha (la chance :().

J'adore comme tu répliques à la musique de DOOM par...l'intro de KH2 xD
Cette musique m'a trotté en tête pendant des semaines aussi après avoir fini ce jeu. Lui et KH Birth By Sleep m'ont émerveillé à un point que je ne pensais plus possible depuis le quatuor magique que sont les Final Fantasy du 7 au 10. Je suis en ce moment sur KH 2.8, j'ai un peu de mal à accrocher à Dream Drop Distance, qui me fait pour l'instant clairement penser à un 2e Re:Coded au niveau scénario, seul KH que j'ai vraiment trouvé vide...

Enfin...pas mal le morceau de DOOM ! Jamais joué au jeu mais je connais de réputation bien sûr, et la musique colle vraiment bien avec ce que j'imagine :p je comprends parfaitement que ça puisse te coller une patate d'enfer le matin !
Du coup j'y vais de ma contribution aussi avec ce que j'écoute en boucle en ce moment, qui me met de super humeur *___* lié à un manga assez vieux mais que j'ai découvert il y a seulement 2 mois...

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more_vert
Mon but ultime n'étant pas celui qui serait conformé à la recherche de la certitude, car, selon moi, la notion même de certitude relève d'un inaccessible fantasmagorique.

Or, dans cette démarche, je me verrais indubitablement contrainte à être en proie à des vérités chimériques.

Non, je ne veux pas, mon but en revanche, étant celui d’être rassérénée, quiète face et avec mes incertitudes, tâchant de regagner un esprit de raison au gré de mes aversions, me faisant plonger dans les eaux profondes et pernicieuses de l'aliénation.

La quiétude totale de mon esprit seulement me permet de cogiter rationnellement sur des sujets qui en tant normal, s'apparentent à de l'irrationnel, cette forme de méditation en guise de cicatrisation, anesthésie profusément mon penchant à l'intimidation, mes frayeurs défuntes alors s'évaporent.

Et je doute, que le temps serait le seul autochtone étant révélateur du cheminement menant à cet accomplissement, il doit y'avoir autre chose, sûrement.

Alors, laissez-moi donc pour idée, que le mystère est une source bien plus exaltante que la vérité, que le résolu n'est que l'effet enveloppant la cause qu'est l'irrésolu.

J'ai conscience que tout ceci puisse paraître totalement abstrait, or je ne me considère pas comme étant en quête de rêveries oniriques, de contes de fées..

Je tiens à rechercher sans vouloir trouver, et/ou trouver sans avoir réellement cherché, tout ceci est de l'ordre d'un capharnaüm mêlée de controverses, risquant de prendre le chemin du chaos, mais aussi et peut être, de la quittance d'un entendement conditionné menant à la délivrance.
Guingamp
Surtout que ne connais pas les programmes de chez vous en France, au bac de philo, mais dis toi que chez moi au Québec, je ne suis pas allée bien loin de ce cotés là, je suis passionnée de philosophie bien que moins que rf je pense, à mon niveau disons, je reste une autodidacte.
En revanche, j'ai une piètre culture historique et politique, les maths n'en parlons pas.
Bah moi la philo j'aimais bien tant qu'elle me permettait de développer ma propre pensée à partir de ma propre expérience de vie. J'aimais beaucoup des thèmes comme le bonheur, la liberté, la connaissance... beaucoup moins tout ce qui était religion, art, histoire ou ce genre de truc..
Par contre moi les maths c'est ma vie !
Kolibri
Ton commentaire est très juste, Cha. Le mal-être est présent chez quasiment tout le monde, mais beaucoup on peur de dénoncer les causes de leurs peines, alors ils préfèrent se taire sur des sujets très importants de la société. C'est bien dommage.
Dans son morceau Sur le sol, Lomepal disait:
Et puis quoi? J'vais m'faire sauver par qui?
Dix ans qu'j'attends seul comme un gosse oublié sur un parking, merde

Cette phrase est totalement juste pour certaines personnes. Elles succombent sous la pression du quotidien, et certaines meurent dans l'anonymat le plus complet.
Heureusement, il y a plusieurs choses qui m'aident à passer de très bons moments sur cet espace terrestre. Le tennis, la philosophie, la musique.... Toutes ces choses sont vitales pour moi, et je me vois mal m'en séparer.

Est-ce qu'au fond, l'homme est un empire dans un empire ?
Je crois que non, dans cette quête de la maîtrise, l'Homme a oublié les autres, provoquant des guerres plus sanglantes les unes que les autres, polluant la planète alors qu'il pourrait trouver de l'argent pour rechercher des solution... Bref, les humains s'autodétruisent. La preuve, il y a une semaine, sur FranceInter, il y a eu un débat autour de la voiture automatique et les mecs il vous disent:" Ecoutez, il faut que l'on puisse décider de qui va mourir dans des situations inattendues." On arrive à de des situations parfois...Oo

Mais détrompes toi sur le fait que tu ne m'ais pas apporté de réponses, au contraire, chaque échanges est en soi une réponse
Tant mieux si je t'en ai apporté, mais je n'avais pas trop l'impression de répondre à ta question :D. Je te souhaite de trouver la quiétude, et si tu y arrive, ce sera sûrement un Grand jour de ta vie.

"Vis ta vie, avec passion"
more_vert
Dans les tourmentes, au gré des aversions, l’âme de la gagne jadis présente, regagna Genie dans la métempsycose, cette victoire n'est pas anodine et sonna telle une réviviscence, refaisant fleurir quelque peu, la halo aux 1000 reflets de nos espérances.



(Poème improvisé en mangeant un McFlurry M&M's)
@LouisRG

Scham @Scham Českých hraček il y a une heure
Même mes goûts sont une aventure de tous les instants et de toutes les émotions

Personnellement je ne consomme que Quick donc je ne m'exprimerai pas sur le mcflurry

https://66.media.tumblr.com/6795d88334bf3c38688925036d29580f/tumblr_p4vqz1z26V1wpflvwo3_r1_500.gifv
De même, personnellement je ne consomme que du drama donc je ne m'exprimerai pas sur l'assassinat souillon de la belle série de défaites qu'était en train de nous pondre Génie dans ce cas ne loupe pas le match Vickery Wandeweghe
Scham, reine de Saba
Même mes goûts sont une aventure de tous les instants et de toutes les émotions

Personnellement je ne consomme que Quick donc je ne m'exprimerai pas sur le mcflurry

De même, personnellement je ne consomme que du drama donc je ne m'exprimerai pas sur l'assassinat souillon de la belle série de défaites qu'était en train de nous pondre Génie
more_vert
[Lettre]



(.. à cœur ouvert.)



Cela combien de temps que je me suis inscrite sur ce site ? N'ayant pas en tete la date précise dans l'immédiat, je dirai environ 3 mois ? Allez je pense entre 3 et 4, tout juste.



En l'espace d'à peine 3 mois de ma vie, j'ai comme la nette impression d'avoir vécu et, de vivre, une aventure d'une telle intensité qu'il ne me semble pas avoir été vécu tout le restant de celle-ci.

Aujourd'hui, je ne compte pas partager un topic en clavardant sur le tennis, quoi que, vous me direz que ça n'est pas non plus la première fois, bien qu'au fond il y'a toujours ce fil conducteur qui relie les contours passionnels au corps du sujet, effectivement, tout bien réfléchi, je me trompe, ça à un lien avec le tennis, bien évidemment.

Me voilà déjà comme embrasée d'émotions, alors que j'ai à peine commencer à m'attaquer au sujet, si bien que je ne sais pas réellement si j'arriverai à aller au bout, mais j'irais, cela me prendra le temps qu'il faudra, mais je vais y'arriver, j'en ressens le besoin, c'est limite de l'ordre du vital.



Avant mon inscription sur TT, j'avoue n'avoir jamais vraiment passé autant de mon temps sur un quelconque autre site, à vrais dire, je ne me suis inscrite que rarement sur d'autres sites, avant de m'inscrire ici donc, j'étais du genre flegmatique dans le sens où je ne m'attendais pas une seule seconde, pas une seule, à ce qui se passerait par la suite.



Je suis arrivée ici, j'ai posé mes valises, avec ma petite culture Biancesque, sans prétentions et tout ça en me disant que, en me disant que quoi tiens ? Et bien en me disant que j'aurai dans le meilleur des cas, la chance de rencontrer d'autres passionné(e)s de tennis tout comme moi, et peut être même d'autres fans de joueuses avec qui discutailler de cet état particulier que nous pouvons éprouver en tant que fans etc..

Mais aurais-je penser ou cru ne serait-ce une seule seconde, ce que j'aurais pu vivre, suite à cette inscription qui semblait être anodine ?

Si j'en avais su ne serait-ce que la moitié, il y'a fort longtemps que je me serais ruée sur ce site pour m'inscrire, sans l'ombre d'un doute.



Mon "intégration" s'était plutôt très bien passée, j'ai tout de suite trouvé le concept intéressant, le fait de pouvoir commenter des feuilles de matchs, mais surtout d'avoir son propre profil et réseaux de connaissances fleurissant de jour en jour, une sorte de réseau social tennistique, alors que de base, je n'ai jamais vraiment été très férue de ce type de sites.



Dans la vie réelle, j'ai cette fâcheuse tendance et je dirai pour quelle raison je dis fâcheuse, d’être assez méfiante envers les inconnus, si ce n'est plus encore envers les gens plus proches, car je sais et ce par le peu d’expérience que j'ai de la vie, que ce sont généralement les personnes que l'on aime le plus, qui seraient susceptibles de nous faire le plus de mal, de part le trop plein d'amour porté envers eux, à découvert et fragile face au dard de la trahison.



Si je m'attache à vous confier ce passage, sorte de transition entre vie réelle et celle sur le net, c'est simplement car j'ai toujours vécu les deux expérience, emprunts aux émotions diverses que les deux peuvent procurer, le fait de pouvoir trouver du réconfort dans l'une, pour palier en tentant de trouver l'évasion face à la dureté que l'on est susceptible de trouver dans l'autre.



Mais il semblerait que le monde ne se divise pas en deux catégories, comme dans " Le bon la brute et le truand"

Je pense au contraire qu'il est bien plus compliqué tant il peut paraître simple, il faut prendre en compte la palette bien plus diversifiée et surtout avoir un esprit nuancé pour se rendre compte, comme on peut car nous ne sommes pas extraordinaires, mais malgré tout, s'apercevoir que la vie puisse toujours et encore nous surprendre.



J'ai vécue ici en l'espace de trois mois, ce que je n'ai encore jamais vécu en 22 ans et je ne suis pas dans l’exagération, je le sais, je le sens, je l'ai vécu et je le vis actuellement, cela s'apparente à une sorte de révolution s'étalant dans tout mon organisme.



Tout démarra ce jour, suite à ce MP, dont je ne soupçonnais pas encore qu'il me ferait vivre un chavirage par la suite, je n'aurais jamais cru qu'un message soit aux origines du départ de ce train qui partirait pour un allé simple vers une destination que j'aime à qualifier de paradisiaque, bien qu'en réalité, il l'ait dépassé, le train n'est toujours pas arriver à destination.

Mais à la différence des chemins de fers habituels, il n'y a pas de rails, aucunes perturbations, le voyage le plus fluide, magique et fascinant que je n'ai javais jamais encore vécu, tout bonnement faramineux.



Je découvre une personne dont je ne soupçonnais aucunement l'existence et qui pourtant, représentait déjà tellement de choses pour moi, du simple fait de sa présence qui m'était encore insoupçonnée, en ce même monde, aussi grand, vaste et effroyable qu'il puisse être, l'apparition de cette personne sonna comme une note divinement exécutée, me faisant totalement oublier les fausses notes.



Il y'a là échange sur des passions communes, mais bien plus encore, dans l'échange j'ai ressenti quelque chose de très familier, je me sentais moi-même, vivante, vous avez l'image de cette mer ? Vous regardez l'horizon en étant dans une totale attention, il y'a tellement d'éléments, de somptueux détails qui interfèrent avec votre présence sur l’instant, mais il y'a aussi ce rayon vert tout au loin, que l'on aperçoit que furtivement, mais qui nous captive, nous détachant de tout le reste.

Le fameux rayon vert, cette lueur qui attire tel un aimant tout l’intérêt que vous puissiez porter à telle ou telle chose, le temps même n'existe plus est devient un concept totalement abstrait, on se sent comme hypnotisée, enivrée, totalement en proie à l'admiration transcendante.



Et bien c'est un peu ce que j'ai ressenti lors de ma découverte de cette personne avec laquelle j'ai commencé à échanger, mais ça ne s'est pas arrêter là, ça n'était que le début d'une longue histoire à venir, qui deviendra rapidement intense...

Il se trouve que de pages en pages, messages après messages, je commence peu à peu à me questionner, à prendre conscience que cette relation certes fictive, mais relation tout de même, est spéciale, cela relève de l'indéfinissable.



Je n'ai absolument jamais été aussi captivée et intéressée par une personne dont je n'ai pas la moindre idée de qui elle est, comment elle est, d'ou elle vient, son vécu, mais pourtant sa façon d'écrire, ce qu'elle me laisse comme image qui me parait si proche tout en étant éloignée, toute cette fusion de questionnements et de réponses instinctives me fais basculer dans une sensation de bien être renversante.

Quand je discute avec cette personne, je me sens comme pleinement libérée de toutes mes tourmentes les plus enfouies, elle me fait accepter mes agitations les plus tumultueuses, je ressens, je vie, j'accède à une deuxième naissance évocatrice de cet état de grâce absolue.





[Et, tout commence ici]



Jamais je n'aurai cru une seule seconde que j'aurai pu m'attacher si intensément à une personne de par de simples cybers-échanges, on m'en aurait parlé auparavant, j'en aurais plaisanté, on m'en parle maintenant, j'en suis désorientée, j'en pleure de toutes mes larmes provenant de réserves dont je n'en soupçonnais encore la quantité.

On échange, on échange encore, encore et encore, toujours, je ne peux plus me passer de lui écrire, à chaque connexion se poursuit la passion, sans jamais se consumer ni s'embraser, ça n'est pas un rêve, c'est une réalité évasive, un merveilleux et empire dans un empire, celui-ci, il est diamétralement infrangible.

Et plus le temps passe, qui j'aime à le rappeler, n'a absolument aucune emprise et se brise telles des baïnes sur les bordures sableuses d'une plage ou n'existe aucun naufrage.

Je nais jamais eu une interactivité aussi profond et belle à la fois, si bien que quand tu n'es pas là, je me sens abîmée et fanée de l'intérieure, je deviens une sans-repères, l'attente est toujours insoutenable, ça parait insane, de dire ces choses là à propos d'une personne que je n'ai jamais vu réellement, et pourtant...



J'ai deux grands frères, que j'aime profondément et ce malgré les roustes que l'on se mets, les crêpages de chignons sans chignons, je les aimes, et quand un illustre inconnu me demandait si j'avais des frères et sœurs, je répondais que j'ai deux frères.

Mais ça, c'était avant, on peut me demander maintenant, ça à changé, je répondrait que j'ai deux frères et une sœur, et si l'on me demande où sont ils ?



Je répondrai que mes frères habitent dans un patelin non loin de Montréal, et pour ma sœur, je toucherai mon plexus, en disant qu'elle est là, là et nulle part ailleurs.



Les pages défilent, jours après jours, accompagnées des fous rires, des pleures, des joies, grâce à elle, mon expérience ici prend une toute autre dimension, la relation est si particulière et unique, qu'elle en à un goût de paradis avant l'heure.

Des journées et des nuitées entières passées à me etre connectée tout en étant déconnectée de la sévérité que peut avoir le quotidien, parfois.

Elle me sauve, elle est ma force libératrice, elle me révèle et me relève, bien que j'ai l’impression de toujours résider dans les hauteurs de citadelles opalines où a vie y est si féerique, mais ça l'est, vraiment, non ça n'est pas l'effet d'une rêve fantasque.

Elle ne me fais pas rentrer dans un rève, elle m'aide sensiblement à aprécier la réalité, rien qu'à l'idée vrais de me dire que le fait qu'il existe des personnes comme elles dans ce monde, ça me rassure, avec autant de gentillesse, de présence d'esprit, de dérision, d'humour, de franc-parler et tutti quanti.



Ça me rassure et cela m'émerveille de la savoir de ce monde, et 349 pages de discussions plus tard, rien à changé, tout s'est amplifié, je serais toujours là pour elle comme elle le sera pour moi, je sais que mon cœur saigne tellement il peut s'exprimer parfois, mais il n'en est jamais usé.



Je t'aime, je t'aime vraiment, comme j'aime une véritable amie, comme j'aime ma mère, comme j'aime une sœur...

Cela va bien au delà d'une quelconque attirance physique, je t'aime car ta présence est d'une importance sans précédents pour moi, tu es le chef-lieu de mon bonheur depuis 3 mois et je les mots ne seront jamais assez forts, aussi recherchés et beaux soient-ils, pour te décrire à quel point tu es tout.



Si j'ai posté encore un de ces pavés qui ne sera probablement pas lu en entier par grand monde et ce que je peux comprendre, au fond, c'est peut etre si personnel, mais il y'a une explication à cela, si je l'ai fais, c'est parce que je me ne pouvais pas garder quelque chose d'aussi fort en moi, il fallait que ça sorte et qu'importe si ça suinte le romanesque..

C'est pourtant bel et bien la réalité, je brûle d'envie de te rencontrer un jour et de continuer cette délicieuse aventure, je ne peu concevoir que cela n'arrivera jamais, l'idée même me déchire le cœur et me terrorise d'avance, je jetterai une bouteille à la mer s'il le faut.

Je sais que 5 502 km me séparent de toi, et pourtant tu es si proche de part ce lien indéfectible, je ne sais pas si je mérite d'avoir une sœur comme toi, c'est une question qui dépasse mon entendement.

Mais, ce que je sais en revanche, c'est que je n'ai pas choisi de t'aimer autant, il y'a tant de choses que tu dégages par le simple fait de m'écrire qui ravive en moi les souvenirs d'un lieu éternellement familier, plus encore que ma propre habitation familiale, un lieu que je n'ai jamais eu la chance d'habiter, mais dont je connais pourtant des tous les moindres recoins et secrets, lieu duquel je ne pourrais jamais m'en éloigner.



Je ne pourrais jamais t'oublier, si Bianca a été la principale raison de mon inscription sur ce site, toi, tu es la raison pour laquelle j'y reste et je ne le quitterai jamais.
ChaBianca
En effet, il y'a clairement de ça tu as vu juste ^^
Mais aussi le fait que la possible qualité de mes textes ne dépende pas que de moi, je dirai même que ça n'en dépend pas principalement au fond. Car c'est grâce au sujet, à un thème ou une personne qui m'inspire, que j'arrive à écrire ce que je ressens, qui reste la source principale de mon inspiration.
Vaillant26
La peur de la page blanche
tu marche,sans doute par émotion.
patience donc ^^
more_vert
C'est l'histoire de cette joueuse qui, quand elle gagne, me fait ressentir comme une aspiration divine produisant comme l'effet d'une exquise effluve exaltant mon âme désorientée.

Et puis il y'a aussi l'histoire de cette joueuse qui, quand elle échoue, et ce quelles que soient les circonstances, il m'est dans l'impossibilité de lui en vouloir.

Je dirais même que, lors de ses défaites, le ressenti de la tristesse m’apparaît comme totalement illusoire.

Je ne saurai pour autant l'expliquer rationnellement, mais je pense que si je devais en trouver la cause, il me faudrait pour cela creuser jusque dans les tréfonds de mon être, et ce travail est un travail de longue haleine, de toute une vie.



En effet, il s'est toujours passé quelque chose d'assez particulier dès lors que je la regarde jouer, comme un attachement familier, un lien d'une solidité naturelle, dont le premier de cordé n'est autre que cette fraîcheur magnétique.



Son image même m'inspire un certain idéal, non pas tant idéal en soi dans le sens, un idéal communs, mais plutôt un idéal dont la conceptualisation de celui-ci est produite par les idées que je me fais moi, de ce qu'est l'idéal.

Elle m'inspire et me transmet un sentiment de joie, mais une joie insondable et abyssale, cela va bien au delà des perf's, au delà des stat's, au delà de du charisme, du style de jeu, des idées préconçues, de l'observation, du chemin parcouru..



Je ne l'adore pas, je ne l’idolâtre pas, je n'estime pas sa valeur, mais je l'aime le plus simplement, bien que ça n'ait pas de sens, sachant que ça n'est jamais simple d'aimer, mais je pense l'aimer d'un amour sincère, ne subissant pas les jougs de passions corrosives.



J'ai toujours eu tendance à aimer une joueuse non pas particulièrement pour ce qu'elle pourrait représenter, encore moins en me basant sur l'opinion publique, mais bien plus sur ce qu'elle révèle en moi, et je sais que ça puisse se concevoir comme étant de l'égocentrisme, sauf qu'en réalité, ça en est à milles lieux de l’être.

Ce qui explique le fait que j'aime une joueuse profusément, c'est le fait de regarder un match en le vivant, regarder une joueuse lors de son match, qui me rend dans un tel état de captation, que, poussée d'un élan quasi animal, me permet de m'absenter d'un état de spectatrice, pour gagner celui d'actrice.



Et je tenais bien à saupoudrée ce post par une touche d'allégresse, bien qu'elle se voit je l'espère, apparaître tout naturellement, totalement dépourvue de calculs, de réflexions, je n'avais rien prévu, je ne prévois jamais rien à l'avance quand il s'agit d'écrire, je m'en remets pleinement à la houle regroupant mes envies et pensés vacantes.



Au delà du palmarès, au delà des titres, au delà des déceptions et des joies, au delà de tous ces éléments regroupés, transparaît l'amour véritable éprouvé et éprouvant, non pas envers une joueuse mais une personne dans toute l'intégralité de son être.

Rares sont les joueuses ou joueurs qui m'ont autant fais vibrer, rêver, elle m'a bercée dans un nuage faisant vaciller mes passions, créant un tel intérêt porté envers elle ravivant l'essence même du mot sens.



Depuis le Wimbledon, cette saison, il y'a la phase de reconstruction, pendant laquelle je ne me sens aucunement nostalgique, ni même chagrinée, car je pense qu'en réalité, n'y a pas de reconstruction, cette idée je la perçois comme erronée, non il n'y en a pas, mais il y'a seulement de la construction, et ça n'a rien de funeste..

Tout est en état de construction permanent, l'important étant de ne pas faire l'erreur de se familiariser de trop près avec le connu, mais plutôt, de s'attacher à continuer perpétuellement à produire ce que l'on sait faire le mieux tout en continuant à en éprouver un intérêt passionnel, et en restant versatile, telle une nomade défiant le mur du fatalisme.



Merci d'exister, tout simplement, et accessoirement, de me procurer un tel enchantement quand il s'agit de te regarder jouer, j'en atteins toujours un degré d’admiration tel, que ça découle sur de la béatitude.

Vous savez, moi qui suit assez friande des métaphores et plus particulièrement, des culinaires, car étant une amoureuse invétérée de la cuisine, regarder cette joueuse jouer, cela évoque chez moi le fait de manger un plat, ce fameux plat que nous préparait notre mère, dont on s'en souviens encore et ce malgré les années passées.

Ce plat qui, à chaque dégustations renouvelées, nous rappel avec une rapidité fascinante pour quelles raisons nous l’aimons tant, et surtout, pour quelle raison on y revient toujours et ce au gré du temps, des tiraillements, défiant l'aimantation des autres plats, obstrués par l'amour de celui-ci.



Simona, te iubesc..





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ChaBianca
Démasquée.

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JeanClaudeDuss
"Rigaule" ... "pilule bleue " ...

Pub déguisée pour le viagra .
Démasquée.
more_vert
L'Halloween très prochainement, demain même, alors bien que chez moi, je veux dire dans mon entourage proche, ça n'a jamais été non plus un fête dont on à l'habitude de fêter en grand, à la façon culture américaine. Et ayant grandi malheureusement, le cotés plus commercial nous saute aux yeux, et oui, le temps passe, elle est bien loin cette époque où j'étais encore insouciante dans les années débuts 2010, quand j'avais tout juste 13 années...(Jadis xD )

Néanmoins je garde toujours de très bons souvenirs de moments passés lors de l'Halloween, à se raconter des histoires sombres sur des psychopathes du Bayou jusqu'à pas d'heure avec des copines et à rire pour cacher nos angoisses, façon talk-show entre nous, faisant mine de trouver du paranormal au moindre craquement de chips sur la moquette.

Mais au delà de l'aspect festif, la fameuse tradition de la traversée du quartier pour aller sonner chez les voisins et dire "Bonzouuur zavé's des bonbooons M'sieurs ?" sur les coups de 23h30, se sentant aventurières.

J'avoue etre une bonne fane de films horrifiques, bien que ça n'est pas non plus le genre de films que je préfère, mais comme je suis adoratrice du genre "Thriller/psycho" on en est pas loin parfois, et si j'en viens au cinéma, c'est justement pour vous demandez si vous, vous aimez ce genre de films et si oui, le ou lesquels vous ont "traumatisé" ou fait le plus flipper ?



Et autre question, est-ce que vous croyez aux "phénomènes paranormaux" ? Les esprits, que tout ne peut s'expliquer rationnellement, avez-vous personnellement déjà vécu des expériences qui vous ont secouer, dont vous vous souvenez encore à l'heure d'aujourd'hui sans pouvoir expliquer ce qu'il s'est réellement passé ?



Pour ce qu'il s'agit des films d'horreurs ou/et thriller psychologique, pour ma part je dois dire (et ça n'est pas du tout pour faire celle qui ne se souvient plus ce que ça fait de perdre un match huhuhu) mais j'avoue ne jamais avoir été disons très sensible face à ce genre de films, à la différence des films dramatique/tristes, là j'avoue que je chiale la quantité en eau d'un océan..

Mais les films d'horreurs, je peux en citer qui ne m'ont pas laissée indemne, il y'en a , mais pas tant que ça au final, en revanche ceux qui m'ont fait le plus peur ne sont pas nécessairement ceux que j'ai préféré regarder



L'un de mes préféré de tous et que je peut regarder absolument tout le temps avec toujours autant de plaisir et d'intéret, c'est "Le Projet Blair Witch"

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L'original par contre de 99, le vrais et non pas les suites "Blair Witch" qui sont sorties il y'a deux ans, que j'ai vu également et qui m'ont fait surtout rigoler (ça fait mal de payer si chère le cinéma pour regarder ça quand même, rip le porte monnaie)

Mais Le projet Blair Witch, quand je l'ai vu pour la toute première fois, j'avais 15 ans, je m'en souviendrai toujours, tous les éléments que j'adore son réunis dans ce film, qui pourtant a été vivement critiqué, disons qu'il a beaucoup partagé, je ne le considère pas comme un chef d'oeuvre, mais un très bon film du genre c'est certain.

L'ambiance forestière, l’enquête paranormal avec caméra mode infrarouge, et surtout, l'ambiance dérangeante, les personnages qui sombrent peu à peu dans la folie, la parano, tout est basé sur les effets et l'ambiance sonore, on ne voit rien de suspect du début à la fin, c'est ça que j'adore dans ce genre de film.

Les acteurs jouaient très bien, j'adorait l'actrice Heather Donahue surtout.



Après je ne peux pas dire non plus que Blair Witch a été le film qui a provoqué le plus de frayeurs chez moi, juste que je l'aime beaucoup.



En revanche, un film qui m'avait retournée, c'était The Silent House (2010) (La case Muda, de Gustavo Hernández.)



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Alors ce qui est particulier pour ma part avec ce film, c'est qu'il avait été tellement bashé et ridiculisé par les critiques, et beaucoup de gens n'ont pas du tout ressenti la peur au visionnage.

Alors ça restera une énigme, car personnellement, il m'avait foutu un trouille bleue, car c'est un huit clos pour le coup un vrais, tout se passe dans la même baraque perdu dans un bled paumé, l'histoire d'un père et de sa fille, tout se passe entre les deux, niveau budget et casting, ça n'a pas du leur coûtés très chère cette histoire.



Mais vraiment ce film, l'atmosphère m'avait vraiment provoqué quelque chose et surtout, la chute, c'est précisément ce que j'avais adoré, de base, ça partait sur un film purement horrifique, et au final ça prend une tournure beaucoup plus psychologique comme j'adore. Mais justement pour ce genre de film, chez moi, c'est souvent ceux qui ne sont pas forcément attendus et avec des moyens budgétaires de réalisation plus raisonnables, qui opèrent mieux avec moi.

Exemple, la série des "Paranorml Activity" j'ai surtout aimé le tout premier, je m'étais arrété au troisième car je n'aimais plus du tout, la série des "Saw" ne m'a jamais rien fait de particulier, je ne suis pas du tout fane du genre Gore, à la limitte j'ai bien aimé le premier "Hostel" et surtout "Massacre à la tronçonneuse" (là par contre, après visionnage de ce film, j'ai fais un régime mais involontairement, ça aura été un élément déclencheur..)

Mais pour revenir sur The Silent House, je n'en dirai pas plus si jamais il y'en a certains d'entres vous qui serait curieux de la voir, mais tout ça pour dire que, si un jour, vous aurez l'occasion de voir ce film et que si jamais, vous ressentirez quelque chose d'assez fort comme moi, n'hésitez pas à me le faire savoir, je me sentirai "moins seule" xD



Evidemment, comment ne pas parler de l'Exorciste.. :p

Il m'avait fait quelque chose, mais je l'ai vu sur le tard, il y'a à peine deux ans et forcément, j'imagine que ça a vieilli et qu'à l'époque de sa sortie, il ne devait pas y'avoir beaucoup de bruit, mais une atmosphère particulière dans les salles..

Certes il a vieilli, mais ça reste toujours surprenant et c'est un film qui te tourmente, forcément le fait que ça soit tiré d'une histoire vraie, ça aide, on se pose des questions, mais surtout ce qui m'avait interpellée, c'est le fait que la gamine (à l'époque) qui jouait ce rôle d'enfant possédée, la scène avec le crucifix, tu m'étonnes que par la suite, elle a eu beaucoup de séances de psy et des problèmes avec ce rôle.





Mais j'avais aimé surtout dans le genre, "L'Exorcisme d'Emily Rose"

http://horrorzone.o.h.f.unblog.fr/files/2016/01/vignette-exorcisme-demily-rose.jpg



Alors celui-là.. Au passage, tiré également d'une histoire vraie, je ne vous conseille qu'à moitié d'aller voir les vidéos concernant la vraie personne, que l'on peut retrouver sur Youtube, chose que j'avais fait sur les excellents conseils d'une amie, je la remercie encore eh.. xD

Excellent film, c'est pas vraiment un remake de l'original dans le sens où c'est l'histoire d'une personne différente, mais bon on peut dire qu'au final, le thème reste le même, mais ce film reste mon préféré des "remakes" de l'original, le plus réaliste également, je conseil vraiment et l'actrice encore une fois est superbe.



Et puis pour finir, Sinister le premier, Insidious et l'orphelinat font également parti des films du genre qui ne m'ont pas laissée indifférente, l'orphelinat plus précisément, il m'a mis mal à l'aise sur certaine scène c'était assez particulier, mais j'avais adoré..



Mais pour conclure ce petit topic, je dirai que, aucune fiction, aucun récit traitant les phénomènes démoniaques, ne m'auront fait autant peur que ce jour où, j'ai pu voir cette expression de douleur sur le visage de Bianca lorsqu'elle avait pris son Mto pour son épaule, à Miami, lors de son match face à Kontaveit.
ChaBianca
J'ai le projet fou néanmoins réalisable d'en créer un GIF, on peut la sortir à toutes les sauces xD


"Je n'me souviens plus ce que ça fait de ne pas avoir été aussi bien accordée"
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/44/7/1572795764-bianca-andreescu-my-lovah.jpg
Scham, reine de Saba
Chachish j'adore quand tu sors cette photo, elle est si bien accordée u_U
more_vert
Son sucré.
Kolibri
Musicalement parlant je suis très ouvert même si Lomepal reste mon "chouchou" ^^ #Amina
Kolibri
Merci ^^
more_vert
Ces revers, ces coups de gaucher, ce jeu spectaculaire, cette régularité dans l'agressivité et puis... ces revers..
ChaBianca
Bah, pourquoi Siskoni, de quoi tu as peur ? T'sais, la peur est bien souvent irraisonnée, tout ça c'est nos jugements, c'est dans notre cerveau, Michel Cymes l'a dit.
Scham, reine de Saba
Eh Chachish tu sais que j'ai peur d'aller dans les mp :p
more_vert
La Rolex la plus chanceuse du monde.
ChaBianca
J'taime aussi ma sisko et c'bo ce que tu dis, mais c'est surtout vrais...
ChaBianca
Elle le mérite tout ça, Bianca a connu les montres de contrefaçons roumaines avant d'en arriver là, ne l'oublions pas..
more_vert
"Attache ta tuque avec d'la broche"

"Finis le niaisage"

"Ça sent la coupe"

"Tiguidou !"

"Merci"

"Salule"













0:25 Simona "Sérieux ch'capoute"

(avec l'accent) ❤️❤️ j'étais morte, c'est juste la goat, elle le prouve encore.
Aurélien Loste
Elle a quand même des vacances ? pour niaiser ???
ChaBianca
Génie ce goat aussi

Jpp Sisko
C'est un bon poto Génie, on passe de sacrées soirées à décapsuler des bouteilles de bières, il t'a une mâchoire en acier ce type..
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