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Victor Amaya
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Eddie Dibbs
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Victor Amaya
 
Eddie Dibbs
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Insolite - Medvedev n’avait vraiment aucune solution face à De Minaur : “J’ai besoin de quelque chose” Ce lundi, Daniil Medvedev a subi la loi d’un Alex De Minaur très costaud. Malgré un bon départ, il a progressivement perdu pied, se révélant bien moins efficace que l'Australien (4-6, 6-2, 6-1, 6-3).  Durant le match, une petite séquence aussi loufoque que géniale a eu lieu. Alors qu’il était mené dans le troisième acte (4-6, 6-2, 3-0), le numéro 5 mondial a crié son désarroi à son clan, leur implorant de l’aide : “J’ai besoin de quelque chose là ! Le score déroule…”.  Finalement, Medvedev n’a trouvé aucune solution miracle et n’a eu d’autre choix que de s’incliner. Éliminé, il laisse le numéro 11 mondial rejoindre les quarts de finale où il défiera un certain Alexander Zverev. 
En deux temps, Gauff mate Jabeur et attend Swiatek en demi-finale !  Coco Gauff continue son chemin Porte d’Auteuil. Opposée à une Ons Jabeur très entreprenante, elle a d’abord été malmenée avant de finalement reprendre le dessus pour s’imposer en un peu moins de 2h. Concédant assez logiquement le premier set (6-4), la joueuse de 20 ans est montée progressivement en puissance.  Mettant de plus en plus de poids dans sa belle et se montrant bien plus percutante en retour, elle a fini par étouffer une Tunisienne dépassée (4-6, 6-2, 6-3 en 1h57). Sentant la pression croissante de son adversaire, Jabeur a en effet craqué, commettant de plus en plus de fautes (30 coups gagnants, 38 fautes directes). Malgré quelques points merveilleux, elle n’avait pas les armes, aujourd’hui, pour stopper la numéro 3 mondiale.  Sans proposer son tout meilleur tennis (22 coups gagnants, 27 fautes directes), Gauff a su rester concentré pour négocier à la perfection les points importants. Qualifiée pour les demi-finales, elle pourrait y retrouver la reine incontestée du circuit WTA : Iga Swiatek.
Pour Patrick McEnroe, il y a un favori auquel on n’a pas encore pensé Ce mardi, c’est le début des quarts de finale à Roland-Garros. Plus que jamais, la question du favori au titre est sur toutes les lèvres. Si, chez les femmes, la question semble être vite résolue, étant donné la domination sans partage de Swiatek, chez les hommes, le débat fait encore rage.  À ce sujet, l’avis de Patrick McEnroe est très intéressant. En effet, dans une question ouverte, il se demande si Grigor Dimitrov ne pourrait pas entrer dans la discussion : “Grigor pourrait-il réellement le faire ?”.  Ce qui est certain, c’est que le Bulgare réalise un superbe tournoi parisien, comme le montre sa belle victoire face à Hurkacz en huitième (7-6, 6-4, 7-6). Avant toute chose, le 10e mondial va déjà essayer d'escalader une montagne prénommée Jannik Sinner. 
Djokovic vole au secours de Goffin : “Nous ne sommes pas au football ou au basket" C’est un des sujets qui a fait massivement réagir depuis le début de ce tournoi de Roland-Garros : l'attitude du public. En plus des spectateurs s’exprimant pendant les points, ce qui a tout de même mené Swiatek à demander au public d’être plus respectueux, c’est surtout l’attitude des supporters lors du match entre Goffin et Mpetshi Perricard qui a fait scandale.  Pour rappel, lors de ce match du premier tour, le public français avait, semble-t-il, dépassé les limites. Encourageant le joueur français avec beaucoup de ferveur, certaines personnes avaient également cherché à déstabiliser son adversaire.  Très remonté après sa victoire (4-6, 6-4, 6-3, 6-7, 6-3), Goffin, très discret par habitude, avait dénoncé l’attitude du public, expliquant s’être fait constamment insulter et avoir même vu une personne lui cracher son chewing-gum dessus. Les propos alarmistes du Belge, expliquant qu’il n’y avait pas d’endroit où le public se montrait plus irrespectueux qu’en France, avaient grandement fait réagir.  Questionné à ce sujet, Djokovic, habitué à faire face à un public hostile, a tenu à venir au soutien de son collègue : “Ce sont des fans très passionnés. Parfois, ils ne sont pas faciles. J’ai vécu des histoires d’amour avec les fans ici, mais aussi des matches difficiles. Nous ne sommes pas au football ou au basket, mais en même temps il nous faut une bonne atmosphère. La limite est mince quand on commence à dépasser les bornes. Je comprends qu’un joueur comme Goffin ait réagi l’autre jour. Je suis favorable à ce qu’un joueur s’élève contre les personnes qui lui manquent de respect.”
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